En 2000, Réseau ferré de France (RFF) a creusé son déficit de 800 MF. Lequel a atteint 11,15 MdF. Ce résultat est en partie imputé à l'importance des charges financières liées à la dette héritée de la SNCF en 1997, lors de la réforme du rail français. A la fin de l'exercice 2000, l'endettement du gestionnaire des infrastructures ferroviaires était de 149,5 MdF. Parallèlement, son excédent brut d'exploitation s'est un peu amélioré (4 MdF) et sa perte d'exploitation quasi stabilisée, à 964 MF. Le déséquilibre des comptes de RFF a été compensé en 2000 par une dotation en capital de l'Etat, d'un montant de 12 MdF.
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Le déficit de Réseau ferré de France
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