Le terme « blockchain » devient de plus en plus familier aux acteurs du transport et de la logistique. Si les grands groupes commencent à investir dans cette nouvelle technologie en s’associant avec les start-ups très en pointe sur ces questions, les petites entreprises restent à la traîne. Mais elles ne pourront pas y échapper longtemps puisqu’elles font partie de la chaîne logistique. En effet, la technologie de la blockchain avance à grands pas avec toujours plus de promesses de traçabilité, de transparence, de sécurité, de réduction de coûts et de simplification. Des expérimentations sont menées partout dans le monde. Côté Union européenne, l’Hexagone se débat bien avec des start-ups très dynamiques et reconnues sur ce sujet. La France a même été le premier pays à donner une définition juridique de la blockchain avec la loi dite Sapin II. Bien entendu, l’Allemagne n’est pas en reste. En revanche, l’Espagne peine à entrer dans la nouvelle technologie et l’Italie l’ignore quasiment. Reste que pour le moment, la blockchain demeure encore au stade expérimental même si des preuves de faisabilité sont établies au jour le jour. La dernière étape, soit le passage à l’échelle, se fait attendre.
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La blockchain entre dans la supply chain
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