Feu vert pour la joint-venture avec Bergé

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Les autorités européennes de la Concurrence ont accordé leur feu vert à la création de la joint-venture conclue par GEFCO avec l’espagnol Bergé, sous l’appellation Bergé GEFCO. Ce nouvel acteur de la logistique automobile disposera de plus de 3 millions de m2 de stockage. Il sera en mesure d’accueillir jusqu’à 120 000 véhicules et devrait s’appuyer sur une flotte de 700 camions porte-voitures ainsi que sur 100 wagons. Bergé GEFCO peut en outre capitaliser sur 40 000 m2 d’entrepôts-ateliers. La nouvelle entité est opérationnelle depuis le début du mois de janvier et se pose en candidat au leadership de la logistique des véhicules finis en Espagne, présentée comme l’un des marchés « les plus importants au monde » avec près de 3 millions de véhicules produits chaque année. « Cette joint-venture va renforcer notre leadership sur le marché de la logistique automobile. La nouvelle société sera bien positionnée pour anticiper les besoins du secteur sur un marché très dynamique et développer des solutions innovantes adaptées aux besoins de nos clients, partenaires et collaborateurs », déclare Luc Nadal, président du directoire de GEFCO (4,4 Md€ de CA).

Ça roule : Un guide pour se lancer dans le GNV-bioGNV

GRDF propose un guide numérique sur le GNV et bioGNV aux transporteurs et gestionnaires de flottes de véhicules. Ce document vise à guider les gestionnaires de flottes qui souhaitent initier une démarche de transition énergétique en répondant aux questions que les chefs d’entreprise peuvent se poser sur cette énergie. Le document s’articule autour de quatre chapitres : l’ABC du GNV ; trois bonnes raisons de passer au GNV ; mode d’emploi ; GRDF vous donne les clés. Il propose différents liens pour estimer réellement les impacts de toute sa flotte, ou d’une partie, au GNV-bioGNV sur l’activité d’une entreprise.

Ça bloque : Encore et toujours le Brexit !

Les députés britanniques viennent de doucher les espoirs des partisans d’un « soft » Brexit. Ils ont rejeté, à une large majorité (432 votes contre, 202 votes pour) l’accord que Theresa May, la Première ministre, avait âprement négocié avec l’Union européenne en vue de préserver les intérêts économiques de part et d’autre. Cette dernière doit encore faire face à un nouveau vote de défiance et envisager un plan B. Trois possibilités s’ouvrent désormais aux Britanniques : une sortie sans accord, un report du délai pour se décider, ou l’organisation d’un nouveau référendum. En attendant, les entreprises qui traversent la Manche retiennent leur souffle.

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