L'intégrateur - qui a inauguré son hub de Roissy en septembre 1999 (3 000 emplois à terme) - et les syndicats signataires (CFDT, CFE-CGC, CGT) se reconnaissent mutuellement des droits et des devoirs dont « le respect réciproque constitue une des clés de la réussite économique de sociale de Fedex ». Les organisations syndicales et la direction rappellent ainsi que le fait syndical est « un facteur d'équilibre et d'évolution positive dans les rapports sociaux au sein de l'entreprise ». Concrètement, l'accord distingue trois types de réunions de négociation : des réunions paritaires qui rassemblent la direction et une délégation syndicale d'au maximum cinq personnes, des réunions techniques de travail et des réunions préparatoires décidées et programmées par les seuls syndicats. La direction met à la disposition de chaque syndicat un local équipé. Chaque organisation reçoit un budget de fonctionnement annuel de 2 500 F. Fedex s'engage par ailleurs à veiller à ce que l'exercice d'un mandat syndical ne porte pas atteinte à l'épanouissement professionnel de l'intéressé, à sa situation présente ou à son évolution dans l'entreprise.
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Fedex chérit ses syndicats
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