La compagnie aérienne britannique Virgin Atlantic a vu son plan de restructuration validé par ses créanciers.
"Aujourd'hui, Virgin Atlantic a franchi une étape importante dans la sauvegarde de son avenir, en obtenant le soutien écrasant" des créanciers qui ont validé à quasiment 100 % le plan, a annoncé la compagnie.
La prochaine étape est une audience devant la Haute Cour le 2 septembre pour approuver le plan de restructuration, précise la compagnie, se disant "confiante que le plan représente la meilleure issue possible pour Virgin Atlantic et tous ses créanciers". Virgin Atlantic s'est résolue à se tourner vers des investisseurs privés après avoir échoué à bénéficier du soutien des pouvoirs publics au Royaume-Uni.
Situation urgente
Une audience de procédure suivra le 3 septembre aux États-Unis afin de garantir la reconnaissance du plan de restructuration dans ce pays. Le transporteur britannique avait trouvé un accord de principe en juillet pour lever 1,2 milliard de livres de fonds privés afin d'éviter la faillite.
Le milliardaire Richard Branson, fondateur de la compagnie et actionnaire majoritaire avec 51 % du capital, doit apporter 200 millions de livres. L'autre actionnaire, la compagnie américaine Delta Air Lines, qui détient 49 %, est également censé participer au sauvetage.
Lors d'une audition devant un tribunal londonien en août, l'avocat de Virgin Atlantic a expliqué que la compagnie pourrait se retrouver à court d'argent d'ici fin septembre si le plan de recapitalisation n'était pas validé, compte tenu de l'effondrement du trafic aérien.
Le transporteur spécialisée dans les vols transatlantiques a repris ses vols progressivement depuis le 20 juillet vers les États-Unis et l'Asie. Il a déjà annoncé la suppression de 3.000 emplois et l'arrêt de ses activités à l'aéroport londonien de Gatwick.
La prochaine étape est une audience devant la Haute Cour le 2 septembre pour approuver le plan de restructuration, précise la compagnie, se disant "confiante que le plan représente la meilleure issue possible pour Virgin Atlantic et tous ses créanciers". Virgin Atlantic s'est résolue à se tourner vers des investisseurs privés après avoir échoué à bénéficier du soutien des pouvoirs publics au Royaume-Uni.
Situation urgente
Une audience de procédure suivra le 3 septembre aux États-Unis afin de garantir la reconnaissance du plan de restructuration dans ce pays. Le transporteur britannique avait trouvé un accord de principe en juillet pour lever 1,2 milliard de livres de fonds privés afin d'éviter la faillite.
Le milliardaire Richard Branson, fondateur de la compagnie et actionnaire majoritaire avec 51 % du capital, doit apporter 200 millions de livres. L'autre actionnaire, la compagnie américaine Delta Air Lines, qui détient 49 %, est également censé participer au sauvetage.
Lors d'une audition devant un tribunal londonien en août, l'avocat de Virgin Atlantic a expliqué que la compagnie pourrait se retrouver à court d'argent d'ici fin septembre si le plan de recapitalisation n'était pas validé, compte tenu de l'effondrement du trafic aérien.
Le transporteur spécialisée dans les vols transatlantiques a repris ses vols progressivement depuis le 20 juillet vers les États-Unis et l'Asie. Il a déjà annoncé la suppression de 3.000 emplois et l'arrêt de ses activités à l'aéroport londonien de Gatwick.