Deux candidats ont manifesté leur intérêt pour racheter les 9 % d'Aéroports de Paris mis en vente par l'État : le constructeur Vinci et l'assureur Predica.
Le groupe de BTP Vinci et Predica, filiale d'assurance du Crédit Agricole, ont fait part de leur intérêt pour racheter les 9 % du capital d'Aéroports de Paris (ADP) mis en vente par l'État, selon "L'Agefi", qui cite des "sources proches du dossier". Vinci s'est refusé à tout commentaire. "Vinci et Predica ont fait acte de candidature", écrit "L'Agefi". Les deux candidats ont fait part de leur intérêt à l'Agence de participations de l'État, chargée du processus de vente.
Les candidats avaient jusqu'au 25 juin pour faire connaître leurs intentions et au plus tard le 28 juin pour déposer une offre "ferme et irrévocable", selon le cahier des charges de l'opération. Ensuite il reviendra à la Commission des participations et des transferts de donner son avis sur le prix proposé. Le nom du ou des vainqueurs devrait être annoncé dans les jours suivants.
Un siège au CA en jeu
Pour le groupe de construction et de concession, déjà actionnaire du gestionnaire des aéroports franciliens Charles-de-Gaulle et Orly à hauteur de 3,3 %, ce serait l'occasion de se renforcer et surtout d'obtenir un siège au conseil d'administration. L'État s'est en effet engagé à faire en sorte qu'un actionnaire qui détiendrait 4,5 % du capital de la société soit représenté au conseil d'administration lors de l'assemblée générale devant approuver les comptes de l'exercice 2013. L'assureur Axa et CNP, qui semblaient intéressés via le Fonds stratégique de participations au départ, ont jeté l'éponge.
Les candidats avaient jusqu'au 25 juin pour faire connaître leurs intentions et au plus tard le 28 juin pour déposer une offre "ferme et irrévocable", selon le cahier des charges de l'opération. Ensuite il reviendra à la Commission des participations et des transferts de donner son avis sur le prix proposé. Le nom du ou des vainqueurs devrait être annoncé dans les jours suivants.
Un siège au CA en jeu
Pour le groupe de construction et de concession, déjà actionnaire du gestionnaire des aéroports franciliens Charles-de-Gaulle et Orly à hauteur de 3,3 %, ce serait l'occasion de se renforcer et surtout d'obtenir un siège au conseil d'administration. L'État s'est en effet engagé à faire en sorte qu'un actionnaire qui détiendrait 4,5 % du capital de la société soit représenté au conseil d'administration lors de l'assemblée générale devant approuver les comptes de l'exercice 2013. L'assureur Axa et CNP, qui semblaient intéressés via le Fonds stratégique de participations au départ, ont jeté l'éponge.