Près de 2.500 vols ont été annulés par les compagnies aériennes à travers le monde lundi 27 décembre : le variant Omicron du Covid-19 perturbe les voyages pendant les fêtes avec notamment des pilotes et membres d'équipage malades ou en quarantaine.
Avec une progression épidémique fulgurante, le variant Omicron a continué lundi 27 décembre de perturber fortement le transport aérien, avec des milliers de vols annulés depuis le week-end de Noël.
Quelque 8.300 liaisons aériennes internationales ou intérieures ont été annulées le week-end de Noël, des dizaines de milliers de vols ont enregistré des retards entre vendredi et dimanche. Les compagnies aériennes chinoises ont à elles seules supprimé plus de 2.000 vols, dont un grand nombre pour Xi'an, dont les 13 millions d'habitants sont confinés.
Selon le dernier bilan du site Flightaware lundi 27 décembre à 17 heures, ces perturbations concernaient surtout la Chine, l'Indonésie et les États-Unis (un quart du total). Flightaware a recensé près de 8.000 annulations pendant le week-end de Noël et en prévoit déjà 800 pour mardi, surtout en Chine. Le site comptait environ 80.000 vols commerciaux par jour dans le monde avant la vague d'annulations qui a commencé vendredi.
L'Europe semble relativement épargnée
Des pilotes, hôtesses de l'air et d'autres membres du personnel ont dû être mis en quarantaine après avoir été exposés au Covid, ce qui a contraint des compagnies comme Lufthansa, SAS, Delta, United Airlines ou Alaska Airlines à annuler des vols.
Les compagnies aériennes chinoises étaient à l'origine du plus grand nombre d'annulations lundi : China Eastern a supprimé 422 vols, soit 20 % de son plan de vol, tandis qu'Air China en a annulé 198, soit 17 % de ses départs prévus.
Les compagnies indonésiennes Lion Air et Batik Air ont annulé respectivement 23 % et 28 % de leurs plans de vol.
Parmi les compagnies américaines, SkyWest, Alaska Airlines, United, American Airlines et Delta ont supprimé des dizaines de vols (jusqu'à 18 % des vols pour Alaska Airlines).
L'Europe semble relativement épargnée, même si British Airways a annulé 46 vols lundi (9 % du total). Air France, en particulier, n'a pas été touché par le phénomène, selon un porte-parole.
Les conditions météorologiques, les fermetures de frontières ou des impératifs commerciaux peuvent aussi expliquer des annulations.
Quelque 8.300 liaisons aériennes internationales ou intérieures ont été annulées le week-end de Noël, des dizaines de milliers de vols ont enregistré des retards entre vendredi et dimanche. Les compagnies aériennes chinoises ont à elles seules supprimé plus de 2.000 vols, dont un grand nombre pour Xi'an, dont les 13 millions d'habitants sont confinés.
Selon le dernier bilan du site Flightaware lundi 27 décembre à 17 heures, ces perturbations concernaient surtout la Chine, l'Indonésie et les États-Unis (un quart du total). Flightaware a recensé près de 8.000 annulations pendant le week-end de Noël et en prévoit déjà 800 pour mardi, surtout en Chine. Le site comptait environ 80.000 vols commerciaux par jour dans le monde avant la vague d'annulations qui a commencé vendredi.
L'Europe semble relativement épargnée
Des pilotes, hôtesses de l'air et d'autres membres du personnel ont dû être mis en quarantaine après avoir été exposés au Covid, ce qui a contraint des compagnies comme Lufthansa, SAS, Delta, United Airlines ou Alaska Airlines à annuler des vols.
Les compagnies aériennes chinoises étaient à l'origine du plus grand nombre d'annulations lundi : China Eastern a supprimé 422 vols, soit 20 % de son plan de vol, tandis qu'Air China en a annulé 198, soit 17 % de ses départs prévus.
Les compagnies indonésiennes Lion Air et Batik Air ont annulé respectivement 23 % et 28 % de leurs plans de vol.
Parmi les compagnies américaines, SkyWest, Alaska Airlines, United, American Airlines et Delta ont supprimé des dizaines de vols (jusqu'à 18 % des vols pour Alaska Airlines).
L'Europe semble relativement épargnée, même si British Airways a annulé 46 vols lundi (9 % du total). Air France, en particulier, n'a pas été touché par le phénomène, selon un porte-parole.
Les conditions météorologiques, les fermetures de frontières ou des impératifs commerciaux peuvent aussi expliquer des annulations.
