Le variant Omicron de la Covid-19 poursuit sa progression fulgurante pendant les fêtes, et n’épargne pas non plus les personnels navigants. Conséquence : environ 7.900 vols ont été annulés à travers le monde le week-end de Noël.
Outre les 7.900 vols annulés par les compagnies aériennes dans le monde le week-end de Noël en raison de la pandémie de Covid-19, des dizaines de milliers de vols ont enregistré des retards entre vendredi 24 et dimanche 26 décembre. Les perturbations se poursuivent ce début de semaine.
La pandémie a notamment entraîné un manque de personnels navigants. Des pilotes, hôtesses de l'air et d'autres membres du personnel ont dû être mis en quarantaine après avoir été exposés à la Covid. Des compagnies comme Lufthansa, Delta, United Airlines, Alaska Airlines, JetBlue ou encore British Airways ont donc été contraintes d'annuler des vols.
Outre le pic de cas d'Omicron à travers les États-Unis, la météo a aussi joué un rôle dans les perturbations : dans l'ouest du pays, des tempêtes de neige et des fortes baisses de températures annoncées compliquant encore davantage une situation déjà chaotique.
Durant ce long week-end, les compagnies aériennes chinoises, en particulier China Eastern et Air China, ont à elles seules supprimé plus de 2.000 vols, dont un grand nombre reliant Xi'an, où 13 millions d'habitants sont confinés.
Refus d’escale pour plusieurs navires
En mer aussi, le coronavirus a frappé des vacanciers. Selon le quotidien Washington Post, plusieurs navires se sont vu refuser l'escale dans plusieurs ports des Caraïbes.
"On navigue à bord d'une boîte de Pétri", un récipient utilisé dans les laboratoires pour la culture de bactéries, a affirmé au journal Ashley Peterson, une passagère de 34 ans du Carnival Freedom qui n’a pas été autorisé à amarrer dans l'île néerlandaise de Bonaire. "J'ai l'impression d'avoir passé la semaine dernière à un évènement super-propagateur". Carnival Cruises a confirmé qu'un "petit nombre à bord avait été isolé en raison d'un test positif à la Covid".
Selon le CDC, la principale agence de santé publique aux États-Unis, plus de 60 navires de croisière faisaient, dimanche 26 décembre, l'objet d'enquêtes par les autorités sanitaires américaines après l'apparition de cas de Covid-19 à bord.
La pandémie a notamment entraîné un manque de personnels navigants. Des pilotes, hôtesses de l'air et d'autres membres du personnel ont dû être mis en quarantaine après avoir été exposés à la Covid. Des compagnies comme Lufthansa, Delta, United Airlines, Alaska Airlines, JetBlue ou encore British Airways ont donc été contraintes d'annuler des vols.
Outre le pic de cas d'Omicron à travers les États-Unis, la météo a aussi joué un rôle dans les perturbations : dans l'ouest du pays, des tempêtes de neige et des fortes baisses de températures annoncées compliquant encore davantage une situation déjà chaotique.
Durant ce long week-end, les compagnies aériennes chinoises, en particulier China Eastern et Air China, ont à elles seules supprimé plus de 2.000 vols, dont un grand nombre reliant Xi'an, où 13 millions d'habitants sont confinés.
Refus d’escale pour plusieurs navires
En mer aussi, le coronavirus a frappé des vacanciers. Selon le quotidien Washington Post, plusieurs navires se sont vu refuser l'escale dans plusieurs ports des Caraïbes.
"On navigue à bord d'une boîte de Pétri", un récipient utilisé dans les laboratoires pour la culture de bactéries, a affirmé au journal Ashley Peterson, une passagère de 34 ans du Carnival Freedom qui n’a pas été autorisé à amarrer dans l'île néerlandaise de Bonaire. "J'ai l'impression d'avoir passé la semaine dernière à un évènement super-propagateur". Carnival Cruises a confirmé qu'un "petit nombre à bord avait été isolé en raison d'un test positif à la Covid".
Selon le CDC, la principale agence de santé publique aux États-Unis, plus de 60 navires de croisière faisaient, dimanche 26 décembre, l'objet d'enquêtes par les autorités sanitaires américaines après l'apparition de cas de Covid-19 à bord.
