Le projet de 1,7 milliard d’euros destiné à l’extension de l’aéroport d’El Prat de Barcelone a abouti à un accord entre le gouvernement espagnol et les autorités locales. Cependant, compte tenu de l’existence d’une zone protégée à proximité, les écologistes s’opposent au projet.
En 2019, ce sont 52,7 millions de passagers qui ont transité par Barcelone, deuxième aéroport du pays dont le projet d’extension prévoit la construction d’un nouveau terminal et l’agrandissement d’une des trois pistes afin de renforcer les connexions avec les continents américain et asiatique.
Selon le gouvernement central, l’extension de l’aéroport de Barcelone permettrait la création de 83.000 emplois directs et 365.000 directs et indirects dans cette riche région touristique de 7,8 millions d’habitants.
D’après le gouvernement central, qui a, par ailleurs, annoncé le déblocage de 1,6 milliard d’euros pour l’aéroport de Madrid, le projet d’extension de l’aéroport de Barcelone devra recevoir le feu vert de Bruxelles et être finalisé en 2030.
Régler la crise séparatiste et respecter la cause écologique
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, se félicite de cet accord déclarant que "c’est une très bonne nouvelle pour la Catalogne, et pour l’ensemble du pays", Barcelone étant la capitale de cette région secouée par une crise séparatiste depuis plusieurs années.
Justement, l’accord entre le gouvernement central et le gouvernement régional séparatiste intervient à quelques semaines de la reprise des négociations entre les deux parties pour trouver une issue à la crise dans la région qui avait été le théâtre en 2017 d’une tentative de sécession.
De son côté, Pere Aragonès, le président régional de la Catalogne, a tenu à rassurer les défenseurs de l’environnement affirmant, sans expliquer comment, que le projet respecterait "le milieu naturel et la biodiversité".
Selon le gouvernement central, l’extension de l’aéroport de Barcelone permettrait la création de 83.000 emplois directs et 365.000 directs et indirects dans cette riche région touristique de 7,8 millions d’habitants.
D’après le gouvernement central, qui a, par ailleurs, annoncé le déblocage de 1,6 milliard d’euros pour l’aéroport de Madrid, le projet d’extension de l’aéroport de Barcelone devra recevoir le feu vert de Bruxelles et être finalisé en 2030.
Régler la crise séparatiste et respecter la cause écologique
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sanchez, se félicite de cet accord déclarant que "c’est une très bonne nouvelle pour la Catalogne, et pour l’ensemble du pays", Barcelone étant la capitale de cette région secouée par une crise séparatiste depuis plusieurs années.
Justement, l’accord entre le gouvernement central et le gouvernement régional séparatiste intervient à quelques semaines de la reprise des négociations entre les deux parties pour trouver une issue à la crise dans la région qui avait été le théâtre en 2017 d’une tentative de sécession.
De son côté, Pere Aragonès, le président régional de la Catalogne, a tenu à rassurer les défenseurs de l’environnement affirmant, sans expliquer comment, que le projet respecterait "le milieu naturel et la biodiversité".
