Les onze Airbus A380 de British Airways stationnés à Châteauroux vont rejoindre Madrid d'ici la mi-décembre pour y être stockés, a annoncé mardi 17 novembre le directeur de l'aéroport du Centre-Val-de-Loire.
"Le stationnement était prévu pour six mois, jusqu'à début octobre. Passé six mois, il faut faire du "deep storage", du stockage long, ce qui nécessite le démontage de certaines pièces. C'est impossible de le faire sur les taxiways", a expliqué Didier Lefresne.
Quatre de ces gros porteurs ont déjà rejoint la capitale espagnole, siège du groupe IAG, propriétaire de British Airways. Sept sont donc encore garés sur l'un des taxiways de l'aéroport berrichon.
"IAG a une base de maintenance à Madrid, d'où le choix de rapatrier les avions là-bas. Et cela évite les allers-retours en A319 deux fois par semaine, depuis Londres, des 25 techniciens qui font la maintenance", a déclaré le directeur de l'aéroport Marcel-Dassault.
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, la gigantesque ancienne base logistique de l'Otan accueille des dizaines d'avions en attendant des jours meilleurs pour le transport aérien. Selon Didier Lefresne, quarante avions sont encore stationnés sur les 25 hectares de parking et de taxiways dont dispose le site.
"Le stationnement était prévu pour six mois, jusqu'à début octobre. Passé six mois, il faut faire du "deep storage", du stockage long, ce qui nécessite le démontage de certaines pièces. C'est impossible de le faire sur les taxiways", a expliqué Didier Lefresne.
Quatre de ces gros porteurs ont déjà rejoint la capitale espagnole, siège du groupe IAG, propriétaire de British Airways. Sept sont donc encore garés sur l'un des taxiways de l'aéroport berrichon.
"IAG a une base de maintenance à Madrid, d'où le choix de rapatrier les avions là-bas. Et cela évite les allers-retours en A319 deux fois par semaine, depuis Londres, des 25 techniciens qui font la maintenance", a déclaré le directeur de l'aéroport Marcel-Dassault.
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, la gigantesque ancienne base logistique de l'Otan accueille des dizaines d'avions en attendant des jours meilleurs pour le transport aérien. Selon Didier Lefresne, quarante avions sont encore stationnés sur les 25 hectares de parking et de taxiways dont dispose le site.