Le PDG d'ADP Augustin de Romanet se montre pessimiste pour l'avenir du transport aérien sans la possibilité de tester les passagers au départ. Aujourd'hui, nous sommes en train de mourir à petit feu, tout le secteur aérien est en train de mourir à petit feu", s'est alarmé le patron des aéroports parisiens, Charles-de-Gaulle et Orly. "Il y a urgence absolue à autoriser les aéroports à réaliser des tests au départ", a-t-il poursuivi.
Pour le patron d'Aéroports de Paris, c'est "une question de semaines" car "chaque semaine perdue ce sont des dizaines de millions d'euros perdus et des centaines de milliers d'emplois qui sont détruits".
La pratique systématique de tests du Covid-19 sur tous les passagers au départ est réclamée avec insistance par l'ensemble du secteur pour rassurer le pays d'arrivée et éviter des mesures de quarantaine.
Selon Augustin de Romanet, ADP a "passé des accords avec des laboratoires il y a un mois et demi pour tester tous les passages au départ". "On nous a indiqué que nous n'avions pas le droit de faire ces tests car ils étaient réservés aux passagers symptomatiques", a-t-il déploré.
La résurgence de la Covid-19 pèse lourdement sur les compagnies aériennes et les aéroports dont l'activité, après avoir été quasi à l'arrêt au printemps, a redémarré doucement en juin avant de plafonner début août et de se tasser à nouveau en septembre.
Pour le patron d'Aéroports de Paris, c'est "une question de semaines" car "chaque semaine perdue ce sont des dizaines de millions d'euros perdus et des centaines de milliers d'emplois qui sont détruits".
La pratique systématique de tests du Covid-19 sur tous les passagers au départ est réclamée avec insistance par l'ensemble du secteur pour rassurer le pays d'arrivée et éviter des mesures de quarantaine.
Selon Augustin de Romanet, ADP a "passé des accords avec des laboratoires il y a un mois et demi pour tester tous les passages au départ". "On nous a indiqué que nous n'avions pas le droit de faire ces tests car ils étaient réservés aux passagers symptomatiques", a-t-il déploré.
La résurgence de la Covid-19 pèse lourdement sur les compagnies aériennes et les aéroports dont l'activité, après avoir été quasi à l'arrêt au printemps, a redémarré doucement en juin avant de plafonner début août et de se tasser à nouveau en septembre.