Dans un contexte de baisse des budgets des Chambres de commerce et d'industrie, celle de Lyon ne désarme pas et affirme ses positions en matière de développement aéroportuaire.
Avec la loi de finances 2015, le gouvernement a fait voter une baisse drastique des ressources des Chambres de commerce. Pour la CCI de Lyon, absorber une baisse de Taxe pour frais de Chambre (TFC) de 5 millions d’euros revient à diminuer ses charges de 11,3 % en 2015. La recherche d’économies doit permettre de pérenniser tout de même les missions essentielles de la CCI et de conserver une capacité à innover et à investir pour répondre aux besoins des entreprises et du territoire.
"Centralisme parisien outrancier"
L’avenir régional passe notamment par l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry. L'État a enclenché la vente d’une partie de ses participations dans les aéroports régionaux. La CCI est actionnaire à 25 % d’Aéroports de Lyon. "Nous entendons assumer pleinement nos responsabilités pour cet aéroport au potentiel fabuleux qui jouit d’une belle position géographique, d’appréciables réserves foncières, de réelles expertises en matière de développement aéroportuaire", martèle Emmanuel Imberton, le président de la CCI, qui reconnaît aussi certains handicaps.
"Centralisme parisien outrancier"
L’avenir régional passe notamment par l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry. L'État a enclenché la vente d’une partie de ses participations dans les aéroports régionaux. La CCI est actionnaire à 25 % d’Aéroports de Lyon. "Nous entendons assumer pleinement nos responsabilités pour cet aéroport au potentiel fabuleux qui jouit d’une belle position géographique, d’appréciables réserves foncières, de réelles expertises en matière de développement aéroportuaire", martèle Emmanuel Imberton, le président de la CCI, qui reconnaît aussi certains handicaps.