La deuxième compagnie aérienne nippone, Japan Airlines, a abaissé ses prévisions de résultats pour son exercice 2021-2022 achevé fin mars, et s’attend à une perte nette encore plus sévère à cause du variant Omicron qui a considérablement réduit son trafic passagers au Japon.
Dans de nouvelles prévisions dévoilées le 15 avril, Japan Airlines (JAL) s'attend désormais à une perte nette annuelle de 177 milliards de yens (1,3 milliard d'euros), contre une prévision précédente à - 146 milliards de yens.
JAL s'attend aussi à un résultat d'exploitation (Ebit) négatif à hauteur de 239 milliards de yens, contre une perte de 198 milliards de yens attendue jusqu'ici.
Enfin, ses ventes annuelles devraient totaliser 682 milliards de yens (5 milliards d'euros, + 41,7 % sur un an), contre une prévision précédente de 766 milliards de yens.
Son quatrième trimestre (de janvier à fin mars 2022) a été plombé par le retour de restrictions dans de nombreux départements japonais du fait de la propagation du variant Omicron, "ce qui a fait baisser significativement la demande de trafic intérieur" de son activité passagers, a expliqué la compagnie.
Et son trafic passagers à l'international ne s'est pas beaucoup amélioré sur la période, en dépit de la levée de certaines restrictions aux frontières du Japon.
L'impact de la flambée des prix du pétrole en mars sur fond de la guerre en Ukraine a quant à lui pu être globalement compensé par des instruments financiers de couverture de carburant, a précisé JAL.
Le groupe, qui était déjà tombé profondément dans le rouge en 2020-2021 à cause de la pandémie, doit publier ses résultats annuels le 6 mai.
JAL s'attend aussi à un résultat d'exploitation (Ebit) négatif à hauteur de 239 milliards de yens, contre une perte de 198 milliards de yens attendue jusqu'ici.
Enfin, ses ventes annuelles devraient totaliser 682 milliards de yens (5 milliards d'euros, + 41,7 % sur un an), contre une prévision précédente de 766 milliards de yens.
Son quatrième trimestre (de janvier à fin mars 2022) a été plombé par le retour de restrictions dans de nombreux départements japonais du fait de la propagation du variant Omicron, "ce qui a fait baisser significativement la demande de trafic intérieur" de son activité passagers, a expliqué la compagnie.
Et son trafic passagers à l'international ne s'est pas beaucoup amélioré sur la période, en dépit de la levée de certaines restrictions aux frontières du Japon.
L'impact de la flambée des prix du pétrole en mars sur fond de la guerre en Ukraine a quant à lui pu être globalement compensé par des instruments financiers de couverture de carburant, a précisé JAL.
Le groupe, qui était déjà tombé profondément dans le rouge en 2020-2021 à cause de la pandémie, doit publier ses résultats annuels le 6 mai.