Le groupe aérien IAG, maison mère de British Airways et Iberia entre autres, a annoncé un bénéfice net divisé par quatre au premier trimestre pénalisé par une activité en baisse et l'impact négatif des taux de change.
Le bénéfice net d'IAG a atteint 27 millions d'euros au cours des trois premiers mois de l'année. La baisse de la livre, qui s'est fortement dépréciée ces derniers mois sur fond de Brexit, lui a coûté 32 millions d'euros, puisqu'elle a amoindri ses résultats réalisés en devise britannique une fois convertis en euro, monnaie dans laquelle le groupe publie ses résultats.
Le chiffre d'affaires recule de 2,8 %
Le groupe, qui possède les compagnies britannique British Airways, espagnoles Iberia et Vueling, et l'irlandaise Aer Lingus, a par ailleurs pâti d'une baisse de son activité, son chiffre d'affaires ayant reculé de 2,8 % à 4,934 milliards d'euros. IAG met cette baisse sur le compte d'un calendrier défavorable, puisque les fêtes de Pâques, traditionnellement une période bénéfique pour le tourisme et le transport aérien, tombaient en avril cette année, alors qu'elles étaient en mars en 2016.
Le directeur général du groupe, Willie Walsh, a lui insisté sur l’amélioration du bénéfice opérationnel, qui a progressé de 9,7 % à 170 millions d'euros, du fait notamment d'une baisse de la facture de carburant. "C'est une performance record au premier trimestre, traditionnellement notre trimestre le plus faible, avec une tendance à l'amélioration de notre revenu par siège", a-t-il déclaré. Le groupe s'attend par ailleurs à une amélioration de son bénéfice opérationnel pour 2017, si les prix du carburant et les taux de change restent aux niveaux actuels.
Le chiffre d'affaires recule de 2,8 %
Le groupe, qui possède les compagnies britannique British Airways, espagnoles Iberia et Vueling, et l'irlandaise Aer Lingus, a par ailleurs pâti d'une baisse de son activité, son chiffre d'affaires ayant reculé de 2,8 % à 4,934 milliards d'euros. IAG met cette baisse sur le compte d'un calendrier défavorable, puisque les fêtes de Pâques, traditionnellement une période bénéfique pour le tourisme et le transport aérien, tombaient en avril cette année, alors qu'elles étaient en mars en 2016.
Le directeur général du groupe, Willie Walsh, a lui insisté sur l’amélioration du bénéfice opérationnel, qui a progressé de 9,7 % à 170 millions d'euros, du fait notamment d'une baisse de la facture de carburant. "C'est une performance record au premier trimestre, traditionnellement notre trimestre le plus faible, avec une tendance à l'amélioration de notre revenu par siège", a-t-il déclaré. Le groupe s'attend par ailleurs à une amélioration de son bénéfice opérationnel pour 2017, si les prix du carburant et les taux de change restent aux niveaux actuels.