Groupe ADP a enregistré un chiffre d'affaires en hausse de 11,9 % au premier trimestre, à 1,08 milliard d'euros, porté par la Jordanie.
Pour le premier trimestre, Groupe ADP, que le gouvernement français entend privatiser prochainement, a publié vendredi 26 avril un chiffre d'affaires en hausse, gonflé notamment par la prise de contrôle d'AIG, concessionnaire de l'aéroport d'Amman, en Jordanie. Sans l'intégration d'AIG, l'activité serait en hausse de 6,4 %, portée par la filiale turque TAV Airports, les commerces et services, a noté le gestionnaire des aéroports parisiens qui maintient l'essentiel de ses objectifs inchangés pour 2019.
Sur les trois premiers mois de l'année, les aéroports franciliens ont rapporté 71 % des revenus du groupe, TAV Airports – qui, hors de Turquie, possède aussi des activités en Arabie saoudite, en Croatie, en Géorgie, en Macédoine du Nord et en Tunisie – 24 % et l'aéroport d'Amman 5 %.
Au premier trimestre, le trafic de Groupe ADP a augmenté de 0,4 % à 58 millions de passagers. Si le trafic des aéroports de TAV a baissé de 3,7 %, celui de Paris Aéroport (Charles-de-Gaulle et Orly) a crû de 4,1 % à 23,7 millions de passagers "grâce au trafic international (+ 5,5 %) et au dynamisme des compagnies à bas coûts (+ 4,8 %)", a précisé la direction.
Sur les trois premiers mois de l'année, les aéroports franciliens ont rapporté 71 % des revenus du groupe, TAV Airports – qui, hors de Turquie, possède aussi des activités en Arabie saoudite, en Croatie, en Géorgie, en Macédoine du Nord et en Tunisie – 24 % et l'aéroport d'Amman 5 %.
Au premier trimestre, le trafic de Groupe ADP a augmenté de 0,4 % à 58 millions de passagers. Si le trafic des aéroports de TAV a baissé de 3,7 %, celui de Paris Aéroport (Charles-de-Gaulle et Orly) a crû de 4,1 % à 23,7 millions de passagers "grâce au trafic international (+ 5,5 %) et au dynamisme des compagnies à bas coûts (+ 4,8 %)", a précisé la direction.
