Fin août, l’aéroport avait récupéré un peu moins de la moitié de son trafic passager annuel. C’est toutefois l’un des meilleurs résultats des plateformes aéroportuaires régionales.
Pour le mois d’août le trafic sur le tarmac niçois a enregistré plus de 751.000 passagers, soit 55 % de celui traité en août 2019. Depuis juillet, l’aéroport retrouve lentement son activité après un second trimestre désastreux. Pour l’instant, un seul des deux terminaux est utilisé. Il s’agit du T2, le plus récent. La chute du trafic est principalement liée à l’international en fort retrait (- 69,8 %) en août. Cette reprise se fait donc sentir avec 71 destinations desservies au mois d’août, dont 53 à l’international.
En juin l’aéroport avait traité 120.000 passagers, soit une baisse de 92 % par rapport à juin 2019 et une offre réseau réduite à 21 destinations (plus de 100 en juin 2019). En cumulé à fin août, le trafic à Nice a atteint 3.428.198 passagers, un retrait de 54,6 % par rapport à la même période en 2019. L’international, qui alimente habituellement le trafic aéroportuaire niçois en majorité, fait défaut avec un baisse en cumulé de plus de 70 %.
Le fret fortement impacté
En détail, l’Europe s’inscrit en baisse de 75 %, le Moyen-Orient de 67 % après les arrêts d’Emirates et de Qatar Airways et de 99 % vers les États-Unis. Pour septembre, les résultats ne seront pas meilleurs. La compagnie Easyjet, par exemple, ne proposera que 21 destinations contre 43 en 2019. Le trafic fret a été fortement touché à Nice avec 2.000 tonnes avionnées à fin juillet (dernier chiffre connu) depuis le début de l’été soit - 71 % par rapport la même période 2019.
L’arrêt des vols d’Emirates et Qatar Airways comptent pour beaucoup dans la mesure où ces deux compagnies traitent quasiment les trois quarts du fret avionné niçois. Emirates n’a toujours pas annoncé son retour à Nice avant la fin de l’année dans le meilleur des cas. Si la tendance reste la même, l’aéroport prévoit une perte de 50 % de son trafic, soit 7 millions de passagers en 2020 (14,5 millions traités en 2019). Un résultat bien loin des 15 millions escomptés en début d’année.
En juin l’aéroport avait traité 120.000 passagers, soit une baisse de 92 % par rapport à juin 2019 et une offre réseau réduite à 21 destinations (plus de 100 en juin 2019). En cumulé à fin août, le trafic à Nice a atteint 3.428.198 passagers, un retrait de 54,6 % par rapport à la même période en 2019. L’international, qui alimente habituellement le trafic aéroportuaire niçois en majorité, fait défaut avec un baisse en cumulé de plus de 70 %.
Le fret fortement impacté
En détail, l’Europe s’inscrit en baisse de 75 %, le Moyen-Orient de 67 % après les arrêts d’Emirates et de Qatar Airways et de 99 % vers les États-Unis. Pour septembre, les résultats ne seront pas meilleurs. La compagnie Easyjet, par exemple, ne proposera que 21 destinations contre 43 en 2019. Le trafic fret a été fortement touché à Nice avec 2.000 tonnes avionnées à fin juillet (dernier chiffre connu) depuis le début de l’été soit - 71 % par rapport la même période 2019.
L’arrêt des vols d’Emirates et Qatar Airways comptent pour beaucoup dans la mesure où ces deux compagnies traitent quasiment les trois quarts du fret avionné niçois. Emirates n’a toujours pas annoncé son retour à Nice avant la fin de l’année dans le meilleur des cas. Si la tendance reste la même, l’aéroport prévoit une perte de 50 % de son trafic, soit 7 millions de passagers en 2020 (14,5 millions traités en 2019). Un résultat bien loin des 15 millions escomptés en début d’année.
