La reprise de la demande d’aviation d’affaires rebondit sur l’activité du groupe canadien Bombardier. L’avionneur annonce avoir relevé ses prévisions de chiffre d’affaires et de commandes pour l’année.
Le groupe Bombardier, qui avait établi une fourchette de 110 et 120 avions à livrer, prévoit d’en livrer 120 en 2021. L’opération devrait générer un chiffre d’affaires à 5,8 milliards de dollars américains sur l’année, soit 200 millions de plus qu’escompté.
"La hausse des prévisions de Bombardier découle d’un solide premier semestre 2021, d’un regain de confiance quant aux perspectives de marché et de notre capacité à renforcer les initiatives en matière d’économies", souligne Éric Martel, le PDG du groupe.
Une activité recentrée sur les avions d’affaires
Au deuxième trimestre Bombardier a engrangé un résultat net de 139 millions de dollars américains (117 millions d’euros) contre une perte de 223 millions au deuxième trimestre l’an passé, époque où l’avionneur était propriétaire de sa division ferroviaire, vendue à Alstom en début d’année.
Désormais exclusivement concentré sur les avions d’affaires, le chiffre d’affaires trimestriel du groupe s’est établi à 1,5 milliard en hausse de 50 % par rapport à il y a un an.
La pandémie de Covid-19 a mis à mal l’aviation d’affaires mais sans commune mesure avec l’aviation commerciale. D’ailleurs, depuis le début de l’année, le trafic est en hausse de 28 %.
Toutefois, Bombardier qui a effectué 29 livraisons, en progression de 45 % par rapport au deuxième trimestre de 2020, a annoncé en février la suppression d’environ 1.600 postes afin d’améliorer sa productivité.
"La hausse des prévisions de Bombardier découle d’un solide premier semestre 2021, d’un regain de confiance quant aux perspectives de marché et de notre capacité à renforcer les initiatives en matière d’économies", souligne Éric Martel, le PDG du groupe.
Une activité recentrée sur les avions d’affaires
Au deuxième trimestre Bombardier a engrangé un résultat net de 139 millions de dollars américains (117 millions d’euros) contre une perte de 223 millions au deuxième trimestre l’an passé, époque où l’avionneur était propriétaire de sa division ferroviaire, vendue à Alstom en début d’année.
Désormais exclusivement concentré sur les avions d’affaires, le chiffre d’affaires trimestriel du groupe s’est établi à 1,5 milliard en hausse de 50 % par rapport à il y a un an.
La pandémie de Covid-19 a mis à mal l’aviation d’affaires mais sans commune mesure avec l’aviation commerciale. D’ailleurs, depuis le début de l’année, le trafic est en hausse de 28 %.
Toutefois, Bombardier qui a effectué 29 livraisons, en progression de 45 % par rapport au deuxième trimestre de 2020, a annoncé en février la suppression d’environ 1.600 postes afin d’améliorer sa productivité.