La première compagnie aérienne japonaise ANA Holdings a annoncé des résultats en progression sur les neuf premiers mois de son exercice 2021-2022. Si elle note une amélioration au troisième trimestre, elle table toujours sur de lourdes pertes annuelles.
Le mardi 1er février, ANA Holdings a ainsi laissé inchangées ses prévisions annuelles, qu'elle avait sévèrement abaissées en octobre dernier. La compagnie aérienne japonaise prévoit toujours, pour son exercice qui se terminera le 31 mars, une perte nette de 100 milliards de yens (773,7 millions d'euros) et une perte opérationnelle de 125 milliards de yens (967,1 millions d'euros).
Sa prévision de ventes n'a pas été modifiée non plus, à 1.060 milliards de yens (8,2 milliards d'euros), ce qui représenterait toutefois une augmentation de 45,5 % sur un an.
Les résultats du groupe sur les neuf premiers mois de l'exercice (avril à décembre 2021) sont cependant en amélioration par rapport à l'exercice précédent, ANA faisant état d'une augmentation de la demande, particulièrement dans le transport intérieur de passagers à partir d'octobre, après la levée de l'état d'urgence au Japon.
Un résultat opérationnel dans le vert au 3e trimestre
Sa perte nette sur les neuf premiers mois de l'exercice se chiffre ainsi à 102,8 milliards de yens (795,4 millions d'euros), moins que la perte nette de 309,5 milliards de yens subie sur la même période un an plus tôt.
Sa perte opérationnelle s'élève à 115,8 milliards de yens (896 millions d'euros), après une perte de 362,4 milliards de yens un an plus tôt.
Surtout, le résultat opérationnel d'ANA est revenu dans le vert au troisième trimestre (octobre-décembre) de son exercice pour la première fois en huit trimestres, avec un bénéfice de 100 millions de yens (774.000 euros).
Ses ventes entre avril et décembre sont en hausse de près de 40 % sur un an à 738 milliards de yens (5,7 milliards d'euros), avec une progression dans toutes ses activités (fret, transport intérieur de passagers et vols internationaux). Mais le groupe est encore loin de son activité d'avant-pandémie, et la vague record de Covid-19 qui sévit actuellement au Japon avec le variant Omicron jette une ombre sur son quatrième trimestre.
Sa prévision de ventes n'a pas été modifiée non plus, à 1.060 milliards de yens (8,2 milliards d'euros), ce qui représenterait toutefois une augmentation de 45,5 % sur un an.
Les résultats du groupe sur les neuf premiers mois de l'exercice (avril à décembre 2021) sont cependant en amélioration par rapport à l'exercice précédent, ANA faisant état d'une augmentation de la demande, particulièrement dans le transport intérieur de passagers à partir d'octobre, après la levée de l'état d'urgence au Japon.
Un résultat opérationnel dans le vert au 3e trimestre
Sa perte nette sur les neuf premiers mois de l'exercice se chiffre ainsi à 102,8 milliards de yens (795,4 millions d'euros), moins que la perte nette de 309,5 milliards de yens subie sur la même période un an plus tôt.
Sa perte opérationnelle s'élève à 115,8 milliards de yens (896 millions d'euros), après une perte de 362,4 milliards de yens un an plus tôt.
Surtout, le résultat opérationnel d'ANA est revenu dans le vert au troisième trimestre (octobre-décembre) de son exercice pour la première fois en huit trimestres, avec un bénéfice de 100 millions de yens (774.000 euros).
Ses ventes entre avril et décembre sont en hausse de près de 40 % sur un an à 738 milliards de yens (5,7 milliards d'euros), avec une progression dans toutes ses activités (fret, transport intérieur de passagers et vols internationaux). Mais le groupe est encore loin de son activité d'avant-pandémie, et la vague record de Covid-19 qui sévit actuellement au Japon avec le variant Omicron jette une ombre sur son quatrième trimestre.