ADP est sur le point de remporter la concession de l'aéroport de Viru Viru, le principal en Bolivie. Ce serait la deuxième implantation du groupe français en Amérique du Sud.
Groupe ADP a signé un protocole d'accord pour l'ouverture de négociations exclusives portant sur le développement et l'exploitation de l'aéroport international Viru Viru de Santa Cruz de la Sierra. La concession de la plateforme bolivienne serait d'une durée de trente ans.
"Ce contrat prévoit que nous allons concevoir, construire, exploiter maintenir et financer l'aéroport de Viru Viru", a expliqué Edward Arkwright, directeur général exécutif du gestionnaire aéroportuaire.
280 millions de dollars à investir
Il s'agit de la principale plateforme du pays. Elle a accueilli 2,9 millions de passagers en 2018 et a enregistré une progression de 10 % de son trafic par an ces dix dernières années, selon ADP.
Le contrat prévoit "la conception d'une extension de l'aéroport et une rénovation", a précisé Edward Arkwright, ajoutant que le plan d'investissement restait à finaliser. "La demande de l'État bolivien est d'au moins 280 millions de dollars sur trente ans", a ajouté Edward Arkwright, précisant que l'accord final doit être signé dans un délai "d'un an maximum".
Groupe ADP a déjà un pied en Amérique du Sud où il détient 45 % du capital de Santiago du Chili en consortium avec Vinci Airport (40 %) et le groupe de construction italien Astaldi. "Dans la plupart des pays d'Amérique latine, le marché aéroportuaire se développe énormément", note le responsable en soulignant une "géographie très propice à l'aérien" dans cette zone avec des reliefs accidentés et des distances importantes.
Ce nouvel accord entre dans la stratégie de développement international du gestionnaire des aéroports parisiens Groupe ADP que l'État souhaite privatiser.
"Ce contrat prévoit que nous allons concevoir, construire, exploiter maintenir et financer l'aéroport de Viru Viru", a expliqué Edward Arkwright, directeur général exécutif du gestionnaire aéroportuaire.
280 millions de dollars à investir
Il s'agit de la principale plateforme du pays. Elle a accueilli 2,9 millions de passagers en 2018 et a enregistré une progression de 10 % de son trafic par an ces dix dernières années, selon ADP.
Le contrat prévoit "la conception d'une extension de l'aéroport et une rénovation", a précisé Edward Arkwright, ajoutant que le plan d'investissement restait à finaliser. "La demande de l'État bolivien est d'au moins 280 millions de dollars sur trente ans", a ajouté Edward Arkwright, précisant que l'accord final doit être signé dans un délai "d'un an maximum".
Groupe ADP a déjà un pied en Amérique du Sud où il détient 45 % du capital de Santiago du Chili en consortium avec Vinci Airport (40 %) et le groupe de construction italien Astaldi. "Dans la plupart des pays d'Amérique latine, le marché aéroportuaire se développe énormément", note le responsable en soulignant une "géographie très propice à l'aérien" dans cette zone avec des reliefs accidentés et des distances importantes.
Ce nouvel accord entre dans la stratégie de développement international du gestionnaire des aéroports parisiens Groupe ADP que l'État souhaite privatiser.