Le Semfos ainsi que ses adhérents viennent de signer à leur tour la "charte qualité place portuaire Marseille-Fos". La démarche mise en place par l'UMF continue de gagner du terrain.
Après avoir remporté l'adhésion de deux entreprises privées avec le transitaire Lam France et l'opérateur de transport combiné Logirhône, la charte qualité place portuaire Marseille-Fos, initiée par l'Union maritime et fluviale de Marseille (UMF) en 2017, vient de conquérir localement la profession de la manutention portuaire. Le président du Syndicat des entrepreneurs de manutention de Marseille et de Fos (Semfos), Nicolas Gauthier, l'a signée mardi 6 novembre dans les locaux de l'association professionnelle. Ses membres se sont engagés dans la même démarche.
"Dans la compétition européenne"
"Avec la charte qualité, on se tourne davantage vers nos clients, vers une qualité de service. Le port de Marseille-Fos est pleinement dans la compétition européenne", a-t-il déclaré en préambule. Rappelant la manifestation organisée par Via Marseille Fos (VMF) à Paris, le président du Semfos a indiqué que "chaque entreprise signataire pourra s'appuyer sur cette charte aux côtés de l'UMF". Jean-Philippe Salducci, le président de l'UMF, estime que l'image du port de Marseille-Fos avait été ternie une nouvelle fois par les mouvements sociaux liés à la loi El Khomri en 2017. Mais il rappelle toutefois que le port phocéen n'est plus victime de mouvements de grève depuis 2011.
"Dans la compétition européenne"
"Avec la charte qualité, on se tourne davantage vers nos clients, vers une qualité de service. Le port de Marseille-Fos est pleinement dans la compétition européenne", a-t-il déclaré en préambule. Rappelant la manifestation organisée par Via Marseille Fos (VMF) à Paris, le président du Semfos a indiqué que "chaque entreprise signataire pourra s'appuyer sur cette charte aux côtés de l'UMF". Jean-Philippe Salducci, le président de l'UMF, estime que l'image du port de Marseille-Fos avait été ternie une nouvelle fois par les mouvements sociaux liés à la loi El Khomri en 2017. Mais il rappelle toutefois que le port phocéen n'est plus victime de mouvements de grève depuis 2011.
