Les mesures économiques, sociales et environnementales prises à l’issue du Fontenoy du maritime vont dans le bon sens pour Armateurs de France. Ses membres demandent à l’État de les finaliser et de les compléter. Ils l’alertent aussi sur la situation difficile du transport de passagers et de la croisière.
L’issue du Fontenoy du maritime satisfait les armements français. Tel est le message adressé par Jean-Emmanuel Sauvée à Annick Girardin le 30 novembre lors de la clôture de l’assemblée générale d’Armateurs de France à Paris. Pour son président comme pour la ministre de la Mer, cette concertation est à l’origine d’une "nouvelle dynamique et d’avancées majeures".
Parmi elles, ils citent trois mesures économiques visant à soutenir le financement et à stimuler les investissements dans la flotte : la révision du "suramortissement vert", aligné sur les critères de la taxe au tonnage désormais, et l’accès prévu au crédit-bail fiscal assorti d’une garantie de la Banque publique d’investissement (BPI).
Une fois ces deux dernières mesures finalisées, "les dettes bancaires de la flotte de commerce sous pavillon français, dans le cadre de son renouvellement et de son verdissement, pourront être garanties par l’État", affirme Jean-Emmanuel Sauvée. Le président d’Armateurs de France encourage aussi les pouvoirs publics à mettre en œuvre "des dispositifs de financement alternatifs et complémentaires au système bancaire tel que le certificat d’investissement maritime".
Soutenir l’emploi maritime
Les mesures prises en faveur de l’emploi maritime sont également saluées par les armateurs. "Leur objectif est d’améliorer le parcours et la carrière des marins français avec la création d’une aide à l’emploi maritime pour trois ans (prolongeant le dispositif « netwage » mis en place en 2021, NDLR) et le doublement du nombre d’officiers formés par l’École nationale supérieure maritime (ENSM) d’ici 2027", rappelle Annick Girardin.
"Je travaille à l’établissement d’un projet stratégique pour que cette école soit en capacité de relever ce défi majeur", affirme la ministre. En parallèle, Armateurs de France se déclare prêt à "élaborer un nouveau contrat social basé sur la confiance entre partenaires et le développement vertueux de notre flotte" avec les organisations syndicales.
Parmi elles, ils citent trois mesures économiques visant à soutenir le financement et à stimuler les investissements dans la flotte : la révision du "suramortissement vert", aligné sur les critères de la taxe au tonnage désormais, et l’accès prévu au crédit-bail fiscal assorti d’une garantie de la Banque publique d’investissement (BPI).
Une fois ces deux dernières mesures finalisées, "les dettes bancaires de la flotte de commerce sous pavillon français, dans le cadre de son renouvellement et de son verdissement, pourront être garanties par l’État", affirme Jean-Emmanuel Sauvée. Le président d’Armateurs de France encourage aussi les pouvoirs publics à mettre en œuvre "des dispositifs de financement alternatifs et complémentaires au système bancaire tel que le certificat d’investissement maritime".
Soutenir l’emploi maritime
Les mesures prises en faveur de l’emploi maritime sont également saluées par les armateurs. "Leur objectif est d’améliorer le parcours et la carrière des marins français avec la création d’une aide à l’emploi maritime pour trois ans (prolongeant le dispositif « netwage » mis en place en 2021, NDLR) et le doublement du nombre d’officiers formés par l’École nationale supérieure maritime (ENSM) d’ici 2027", rappelle Annick Girardin.
"Je travaille à l’établissement d’un projet stratégique pour que cette école soit en capacité de relever ce défi majeur", affirme la ministre. En parallèle, Armateurs de France se déclare prêt à "élaborer un nouveau contrat social basé sur la confiance entre partenaires et le développement vertueux de notre flotte" avec les organisations syndicales.