Adhérent de la Charte bleue d’Armateurs de France, membre de l’Association internationale des tours opérateurs en Antarctique (IAATO) et de l’Association des opérateurs en croisière expédition en Arctique (AECO) pour contribuer à y promouvoir un « tourisme organisé, raisonné et raisonnable », Ponant détient tous les brevets de la vertu environnementale.
Tous ses navires sont « clean ships » (recyclage, traitement des déchets et des eaux usées, réduction d’émissions de gaz, politique d’achats durables, éclairage LED, etc.) et depuis janvier, un an avant la mise en œuvre du plafond de soufre, la totalité de sa flotte carbure au Low sulphur marine gaz oil, un combustible à 0,1 % maximum de soufre.
La compagnie, partenaire sélectionné par National Geographic, va jusqu’à embarquer naturalistes, spécialistes et scientifiques lors des croisières, pour « sensibiliser sur les dangers auxquels s’exposent les différents écosystèmes », partant du principe que « l’on ne protège que ce que l’on connaît ».
Elle n’hésite pas à faire du prosélytisme à bord en faveur des ONG de façon à ce que ses clients reviennent « transportés » et se fassent eux-mêmes ambassadeurs de la « beauté du monde » et de l’impérieuse nécessité de la préserver.
En 2021, l’armateur marseillais devrait réceptionner son brise-glace hybride électrique, avec la plus grande autonomie possible à ce jour sur batteries électriques, et consommant exclusivement du GNL. Le Commandant Charcot est en cours de construction chez le norvégien Vard, filiale de Fincantieri, chantier de prédilection de Ponant.