Si le seuil de tolérance n’a pas été atteint, les oppositions se développent franchement. Pour leur empreinte carbone, les paquebots de croisière, nourris au gigantisme de ces dernières années, sont désormais sommés d’amender leur rapport à l’environnement. Là n’est pas leur seul tare aux yeux des riverains embués par les fumées de leurs cheminées, ils déversent des hordes de tourisme, et sont pour cela, taxés de contribuer à un tourisme intensif à l’heure où la société civile a soif d’un « slow tourisme ».
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