Les associations représentant les armateurs demandent une extension des installations agréées à des chantiers non communautaires mais jugés conformes aux exigences, y compris en Inde.
Tout au long de l’année 2018, à l’approche de la nouvelle réglementation européenne sur le démantèlement des navires en vigueur depuis le 1er janvier, les relations se sont tendues entre les armateurs et les ONG, celles qui dénoncent les « chantiers dangereux et polluants » le long des côtes d’Alang, en Inde, ou de Chittagong, au Bangladesh.