Dunkerque veut sortir de sa condition de « port bananier »

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Pour sa part, Dunkerque veut capitaliser sur son transit-time « de 9 jours en sortie de Fort-de-France et de 8 jours en sortie de Pointe-à-Pitre » consolider sa position dans le groupage à l’export sur les Antilles, capitalisant sur un transit-time favorable, « de 9 jours en sortie de Fort-de-France et de 8 jours en sortie de Pointe-à-Pitre », précise la direction portuaire.

Le « premier port desservi en France dès l’arrivée des navires en Europe » affiche son statut de premier port bananier de France, aidé en cela par l’implantation il y a 18 ans de l’entrepositaire Dunfresh (du groupe Conhexa) qui accueille dans ses entrepôts du bassin Ouest 100 % des bananes en provenance des Antilles.

Si les bananes sont de retour à Dunkerque – en 2017, les importations ont été asséchées par la tempête Matthew et les ouragans Irma et Maria dans les Antilles françaises –, la place dunkerquoise veut « mieux équilibrer ses flux » en développant des solutions de groupage personnalisé en sortie du port. Une mission « commerciale » a été assurée en ce sens en mars aux Antilles. Au départ du port du Nord, la destination est couverte depuis le début de l’année par la compagnie anversoise StreamLines, tandis que CMA CGM et Marfret y escalent déjà dans le cadre de leurs services une fois par semaine.

Quelle place sur la scène internationale pour les ports d’Outre-mer?

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