Hapag-Lloyd teste le Cloud, un nouveau défi pour les hackers

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Le 17 février, la compagnie allemande Hapag-Lloyd a jugé nécessaire d’informer le monde entier qu’elle testait une nouvelle solution de partage de l’information. Tous les plans de chargement et les détails concernant les marchandises (donc le pré-manifeste) de chaque navire seront mis sur le Cloud afin d’être disponibles en temps réel pour les gestionnaires de terminaux et le transporteur. Cela lui permettra de suivre au plus près l’avancement des opérations de chargement/déchargement. Le manutentionnaire pourra, lui, anticiper au plus tôt les besoins en équipements et en hommes. L’objectif est de réduire le nombre de changements inattendus et donc leurs coûts en navigation côtière. Cette technologie a été développée par le fournisseur nord-américain XVELA. Le communiqué d’Hapag-Lloyd est dithyrambique sur les avantages que la compagnie espère tirer de cette nouvelle technologie mais ne souffle pas mot sur les dispositifs mis en place pour sécuriser l’usage du « nuage », en particulier avec une technologie américaine.

Le fait même de diffuser cette information portant sur l’existence de ce test peut paraître surprenant: s’agit-il d’agiter un chiffon rouge pour provoquer des tentatives d’intrusion et ainsi vérifier la résistance du système ou, plus modestement, d’une bêtise?

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