« Ce n’est pas le moment que notre société réfléchisse à ce rachat », a rapporté l’agence de presse sud-coréenne Yonhap, citant les propos de Jung Sung-Leep. Le président de Daewoo Shipbuilding a fait part de son intention de ne pas racheter le capital de STX France. Il était prévu que la Korea Development Bank (KDB), qui détient 66 % des parts de STX France, vende ses parts au constructeur naval coréen. Jung Sung-Leep a tenu à expliquer ce choix en raison d’une réserve limitée de liquidités et du fait que le secteur de la construction de navires de croisière ne rentrait pas pour le moment dans le plan d’action de l’entreprise.
En France, le candidat régional Christophe Clergeau a soumis l’idée d’un consortium français privé majoritaire au côté de l’État qui posséde 33,3 % des parts.