Le ministère italien des Infrastructures et des Transports a diffusé le 25 mai le rapport final concernant l’accident du Costa-Concordia du 13 janvier 2012. Ses conclusions sont les mêmes que celles du projet de rapport qui a circulé et dont le JMM a rendu compte le 26 avril. Le BEAmer italien maintient que l’unique cause de cet échouement majeur est d’origine humaine et que le paquebot respectait toutes les obligations qui lui étaient applicables. Ce que conteste un BEAmer d’un État membre de l’UE dont 568 citoyens étaient à bord du paquebot. Selon lui, certaines portes étanches étaient situées dans une zone où toute porte étanche est interdite, selon la convention Solas. Ce dossier technique est trop important pour que le rapport définitif ne soit pas finement analysé, au moins au niveau européen, afin d’en tirer des conclusions indiscutables.
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Le rapport final sur l’accident du Costa-Concordia disponible
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