L’or noir, l’atout français

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Les trafics pétroliers des ports européens s’avèrent un atout pour les ports français. Quand les ports de l’Hexagone se retrouvent rétrograder derrière le quinté de tête des ports européens, ils remontent de quelques échelons pour le classement des trafics pétroliers. Marseille, quatrième port européen pétrolier, se place juste derrière Bergen, premier port scandinave. Il dépasse de plus de 5 Mt le port italien de Trieste, un concurrent pour l’approvisionnement des raffineries du centre de l’Europe. Ce classement de 2009 devrait malgré tout subir quelques changements en 2010. Les nombreux mouvements sociaux de l’année ont sérieusement handicapé le trafic pétrolier du port phocéen. Et son concurrent italien a joué la carte du remplaçant. Avec Le Havre en sixième position et Nantes Saint-Nazaire en 18e position, la France affiche un trafic pétrolier équilibré entre ses différentes façades.

À prendre en compte les chiffres de ces principaux ports, la première place revient au Royaume-Uni avec plus de 109 000 t. Viennent ensuite les Pays-Bas et la Russie avec plus de 90 000 t, et enfin la France avec un trafic de plus de 77 000 t. L’or noir est vraiment un atout pour les ports français.

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