Le Centre de documentation, de recherche et d’expérimentation sur les pollutions accidentelles des eaux signale qu’il reste des places pour cette formation qui s’adresse aux opérationnels “non professionnels” de la communication, “susceptibles d’être confrontés aux médias sur le terrain”. Les stagiaires rencontreront les différents acteurs de la communication en cas de pollution accidentelle des eaux (préfectures maritimes, préfectures terrestres). Durant trois jours, du 4 au 6 février, des exercices de rédaction de communiqués de presse, d’interviews radiophonique et télévisée permettront aux stagiaires d’appliquer les connaissances théoriques qui leur seront délivrées.
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