La valse à cinq temps

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Une valse à cinq temps devrait s’engager avec les directeurs des nouveaux Grands ports maritimes. Après les départs annoncés en juillet de Guy Janin de Marseille et de Jean-Marc Lacave du Havre, d’autres postes entrent dans la danse. Martine Bonny quitterait Rouen pour Dunkerque. Elle serait remplacée par Philippe Deiss préalablement à Bordeaux. Jean-Claude Terrier partirait de Dunkerque pour Marseille. Deux contretemps demeurent dans cette valse. Qui remplacera Jean-Marc Lacave au Havre et Philippe Deiss à Bordeaux? Au Havre, le secret demeure. Relisons la récente réforme portuaire et appliquons-la. Elle prévoit l’entrée de personnes issues du privé aux postes de directeur des ports. Poussons le raisonnement et regardons qui dirige les terminaux de Port 2000.

À Bordeaux, le départ de Philippe Deiss pourrait consacrer un autre volet de cette réforme, la coopération portuaire. Il ne paraît pas illogique de voir se constituer une direction multiport sur la façade Atlantique, tout en conservant des directions locales opérationnelles. Mais, comme le chantait Jacques Brel dans sa valse, « Et Paris qui bat notre émoi, Paris qui bat la mesure. » Et donc, la réponse appartient au ministre de mettre en œuvre sa réforme.

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