Un mouvement peut en cacher un autre

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Après la première grève du 26 mars, un mouvement très suivi selon les syndicats, la CGT FNPD a appelé, à compter du 31 mars, à une autre forme d’action: le refus des heures supplémentaires et des travaux exceptionnels. Ce mouvement est, lui, différemment suivi selon les ports autonomes. Il s’inscrit dans le cadre des négociations du plan de relance des ports entamées depuis maintenant un mois. Cette grève a été demandée à la suite d’une réunion qui s’est tenue à Paris le 28 mars à laquelle toutes les organisations syndicales ont été invitées. Certaines organisations syndicales assises autour de la table sont « peu représentatives », selon la fédération de Montreuil. Souhaitant que les réunions prévues se tiennent selon les engagements pris, à savoir entre les deux organisations patronales et le syndicat, la FNPD CGT a maintenu le mouvement tout en rappelant qu’il continue à négocier. Le 2 avril, alors que nous bouclons cette édition, ce mouvement continue dans les ports autonomes. Tour de France du suivi de ce mouvement et de ses conséquences.

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