À La Rochelle, le mouvement lancé par la FNPD CGT a été suivi par l’ensemble des personnels des quais du port autonome et suivi par solidarité par les dockers. Ainsi, les navires qui pourraient faire la manutention avec leur propre moyens de bord sont aussi touchés avec le mouvement des dockers. Le refus d’exécuter les heures supplémentaires et les travaux exceptionnels signifie, concrètement sur les quais, qu’un navire sera parfois amené à patienter une journée pour finir ses opérations.
L’impact de ce mouvement à La Rochelle est encore difficilement mesurable en terme de trafic. Les conséquences sont plus nettes sur l’image du port et sa fiabilité. Les efforts fournis récemment par la communauté portuaire locale pour redorer le blason du port ont été sérieusement détériorés.