Le tribunal de commerce de Marseille a renvoyé au 20 juin le jugement définitif. Il a estimé que les offres de reprise présentée par l’Union Naval Barcelona, filiale du groupe espagnol Boluda, et par le chantier génois San Giorgio del Porto pouvaient être améliorées. La proposition de Boluda tient toutefois la corde. L’entreprise espagnole, qui se propose de reprendre 105 des 115 salariés, a obtenu l’amodiation de deux formes de radoub du PAM.
Technique
Le dossier de la Compagnie Marseille Réparation (CMR), soumise à un redressement judiciaire, n’est toujours pas bouclé.
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