Début juillet 2005, l’European Shippers’ Council sortait un communiqué rappelant tout le mal que les chargeurs européens pensaient des surcharges combustible dans le maritime et l’aérien.
En aérien, cette surcharge peut représenter la moitié, voire plus, du taux de fret total. D’une compagnie à une autre (avions et modes d’exploitation différents), le niveau de la surcharge est très similaire; ce qui étonne les chargeurs.
Ces derniers contestent formellement le mode de calcul de cette surcharge et les références prises en compte par les compagnies. D’autant qu’un "certain nombre" de ces dernières ont couvert à terme une grande partie de leurs achats de carburant. Les chargeurs veulent de la transparence dans les calculs. Auraient-ils été entendus mondialement?