Le procureur général du Liban, Ghassan Oueidate, avait décidé de poursuivre ce juge, Tarek Bitar, ripostant à sa propre mise en accusation sur fond d'un bras de fer judiciaire qui menace d'occulter l'enquête.
Tarek Bitar avait décidé le 23 janvier de reprendre son enquête suspendue pendant 13 mois en raison de pressions de la part d'une grande partie de la classe politique.
Il avait inculpé plusieurs personnalités de haut rang, notamment le procureur général Ghassan Oueidate et deux hauts responsables de la sécurité.
La rédaction