Passer un camion par le chas d’une aiguille ! C’est fou, mais parfois nécessaire. Pour les « pros » du volant, pas de problème. S’ils pensent que ça doit passer, ça passe – non sans quelques frayeurs parfois.
Voici donc divers exemples de camions – ou grues mobiles – confrontés à des difficultés d’itinéraire qu’il a fallu surmonter.
Avec, pour commencer, un Kenworth néo-zélandais, chargé d’un dumper articulé, qui n’en menait pas large pour passer ce tunnel – et quelques autres qui émaillent cette route du littoral.
Puis une bétaillère Volvo, engagée sur un minuscule chemin de montagne, en Suisse. C’est là où l’on mesure l’avantage d’avoir un porteur avec une remorque à avant-train. C’est peut-être plus difficile à reculer, mais ça « coupe » bien moins qu’une semi.
Quant à cette grue automotrice Terex, d’un levageur allemand, si elle a pu entrer d’un côté…
… elle ne manquera pas de ressortir de l’autre.
Toujours en Allemagne, cette autre grue automotrice, Liebherr cette fois, semble elle aussi engagée dans un sacré défi !
Évidemment, les pays de montagne posent plus de problèmes aux transporteurs que les autres, moins accidentés. Ainsi, la traversée de ce village suisse, avec un Mercedes dont la semi est chargée d’une cabine de téléphérique, se fera lentement, mais sans encombre.
Cette fois, c’est un tunnel d’accès à une carrière qui est tout juste au format de ce dumper, un Caterpillar 771D, dont la largeur avoisine les 4 m et la hauteur les dépasse (théoriquement) très légèrement. Heureusement, une fois sur site, il n’aura plus à en sortir.
Et puis, parfois, ça ne passe plus. Ici, la pièce à transporter est trop longue et le virage trop serré. L’aide d’une grue sera nécessaire pour sortir ce MAN norvégien de ce mauvais pas.
Plus paisible ? Sûrement. Mais ne vous y fiez pas, amener un convoi de 110 t au cœur de l’Oisans exige de l’expérience et des nerfs d’acier. Des qualités qui ne manquent pas aux équipes de l'entreprise BRTP, accoutumées à ce genre de prouesse.
La preuve ? Encore un camion de BRTP qui a su se faufiler, au millimètre près, là où l'on avait besoin de lui.
Évidemment, plus la pièce à transporter est grosse, plus les difficultés s’accumulent.
Voici donc divers exemples de camions – ou grues mobiles – confrontés à des difficultés d’itinéraire qu’il a fallu surmonter.
Avec, pour commencer, un Kenworth néo-zélandais, chargé d’un dumper articulé, qui n’en menait pas large pour passer ce tunnel – et quelques autres qui émaillent cette route du littoral.
Puis une bétaillère Volvo, engagée sur un minuscule chemin de montagne, en Suisse. C’est là où l’on mesure l’avantage d’avoir un porteur avec une remorque à avant-train. C’est peut-être plus difficile à reculer, mais ça « coupe » bien moins qu’une semi.
Quant à cette grue automotrice Terex, d’un levageur allemand, si elle a pu entrer d’un côté…
… elle ne manquera pas de ressortir de l’autre.
Toujours en Allemagne, cette autre grue automotrice, Liebherr cette fois, semble elle aussi engagée dans un sacré défi !
Évidemment, les pays de montagne posent plus de problèmes aux transporteurs que les autres, moins accidentés. Ainsi, la traversée de ce village suisse, avec un Mercedes dont la semi est chargée d’une cabine de téléphérique, se fera lentement, mais sans encombre.
Cette fois, c’est un tunnel d’accès à une carrière qui est tout juste au format de ce dumper, un Caterpillar 771D, dont la largeur avoisine les 4 m et la hauteur les dépasse (théoriquement) très légèrement. Heureusement, une fois sur site, il n’aura plus à en sortir.
Et puis, parfois, ça ne passe plus. Ici, la pièce à transporter est trop longue et le virage trop serré. L’aide d’une grue sera nécessaire pour sortir ce MAN norvégien de ce mauvais pas.
Plus paisible ? Sûrement. Mais ne vous y fiez pas, amener un convoi de 110 t au cœur de l’Oisans exige de l’expérience et des nerfs d’acier. Des qualités qui ne manquent pas aux équipes de l'entreprise BRTP, accoutumées à ce genre de prouesse.
La preuve ? Encore un camion de BRTP qui a su se faufiler, au millimètre près, là où l'on avait besoin de lui.
Évidemment, plus la pièce à transporter est grosse, plus les difficultés s’accumulent.