Toutes les citernes ne se ressemblent pas et c’est bien normal, mais certaines se singularisent plus que d’autres.
A l’image de cette citerne à eau, utilisée pour l’arrosage des pistes, en carrière ou en chantier, afin d’éviter les nuages de poussière que provoquerait sinon le roulage des camions. Elle est américaine, d’une capacité de 13 000 l et sa forme asymétrique (plus haute à l’avant qu’à l’arrière) induit un transfert de poids vers l’avant. C’est voulu, mais pour quel bénéfice ?
Le porteur étant un 6x4 (Kenworth T440), les essieux arrière sont évidemment ceux qui portent le plus de charge. Transférer du poids vers l’avant en cours de vidange a sans doute un sens mais qui échappe un peu : plus de pouvoir directeur et moins d’adhérence sur les roues motrices, pourquoi ?
Transférer du poids vers l’avant est souvent recherché sur les remorques semi-portées agricoles, notamment les citernes d’épandage, ceci afin de garder le plus d’adhérence le plus longtemps possible sur les roues arrière du tracteur, alors que la citerne se vide progressivement. Mais sur un porteur, c’est, disons, bizarre… Si quelqu’un à la réponse qu’il n’hésite pas à la partager. Merci d’avance !
Enfin, quelques autres curiosités avec des cuves aux formes inhabituelles et même un brin tarabiscotées.
Comme ces citernes japonaises pour le transport de gaz naturel liquéfié. Les deux premières, sur semi-remorque, ont une capacité de 13,8 t et la troisième, sur porteur, de 8,82 t. Pour cette dernière, il a fallu abaisser de près de 160 mm la hauteur du châssis (Hino 8x4) pour tenir compte du grand diamètre de la cuve.
Moins que la forme de la citerne, c’est la distribution des essieux qui est étonnante sur cette semi-remorque VM Tarm, de fabrication danoise mais destinée au marché suédois. Utilisée pour le transport de lisier, elle a une capacité de 40 000 l au PTRA de 56 t. Une valeur élevée qui nécessite d’utiliser tous les essieux au maximum de leur capacité légale. Ainsi, pour que le dernier essieu puisse porter 10 t, il a fallu le reculer le plus loin possible, occasionnant un entraxe immense avec le train roulant principale qui occupe du coup une position quasi-centrale. Ce dernier essieu est évidemment dirigé (hydrauliquement avec un système VSE), ce qui évite les ripages destructeurs mais pas le balayage considérable du porte-à-faux arrière en virage.
Enfin, plus classique, mais toujours aussi impressionnante, une belle citerne chimique suédoise de 49 000 l, utilisable au PTRA de 64 t ou de 62 t selon la classification des routes empruntées. Elle est attelée à un tracteur 6x2 Scania R650.
A l’image de cette citerne à eau, utilisée pour l’arrosage des pistes, en carrière ou en chantier, afin d’éviter les nuages de poussière que provoquerait sinon le roulage des camions. Elle est américaine, d’une capacité de 13 000 l et sa forme asymétrique (plus haute à l’avant qu’à l’arrière) induit un transfert de poids vers l’avant. C’est voulu, mais pour quel bénéfice ?
Le porteur étant un 6x4 (Kenworth T440), les essieux arrière sont évidemment ceux qui portent le plus de charge. Transférer du poids vers l’avant en cours de vidange a sans doute un sens mais qui échappe un peu : plus de pouvoir directeur et moins d’adhérence sur les roues motrices, pourquoi ?
Transférer du poids vers l’avant est souvent recherché sur les remorques semi-portées agricoles, notamment les citernes d’épandage, ceci afin de garder le plus d’adhérence le plus longtemps possible sur les roues arrière du tracteur, alors que la citerne se vide progressivement. Mais sur un porteur, c’est, disons, bizarre… Si quelqu’un à la réponse qu’il n’hésite pas à la partager. Merci d’avance !
Enfin, quelques autres curiosités avec des cuves aux formes inhabituelles et même un brin tarabiscotées.
Comme ces citernes japonaises pour le transport de gaz naturel liquéfié. Les deux premières, sur semi-remorque, ont une capacité de 13,8 t et la troisième, sur porteur, de 8,82 t. Pour cette dernière, il a fallu abaisser de près de 160 mm la hauteur du châssis (Hino 8x4) pour tenir compte du grand diamètre de la cuve.
Moins que la forme de la citerne, c’est la distribution des essieux qui est étonnante sur cette semi-remorque VM Tarm, de fabrication danoise mais destinée au marché suédois. Utilisée pour le transport de lisier, elle a une capacité de 40 000 l au PTRA de 56 t. Une valeur élevée qui nécessite d’utiliser tous les essieux au maximum de leur capacité légale. Ainsi, pour que le dernier essieu puisse porter 10 t, il a fallu le reculer le plus loin possible, occasionnant un entraxe immense avec le train roulant principale qui occupe du coup une position quasi-centrale. Ce dernier essieu est évidemment dirigé (hydrauliquement avec un système VSE), ce qui évite les ripages destructeurs mais pas le balayage considérable du porte-à-faux arrière en virage.
Enfin, plus classique, mais toujours aussi impressionnante, une belle citerne chimique suédoise de 49 000 l, utilisable au PTRA de 64 t ou de 62 t selon la classification des routes empruntées. Elle est attelée à un tracteur 6x2 Scania R650.