Nous aurions presque pu en faire un camion-mystère : à quoi peuvent bien servir ces courtes semi-remorques attelées par trois ?
Telles qu’on les voit, à rien. Ces éléments sont destinés à compléter des semi-remorques surbaissées. Ce sont des bissels additionnels qui, intercalés entre un tracteur et le col-de-cygne d’une semi-remorque porte-engins, servent à répartir la charge afin d’accroître la capacité de l’ensemble sans dépasser la valeur de charge limite sur sellette.
Ceux-ci sont néo-zélandais, fabriqués par MTE, et s’ils se promènent ainsi c’est tout simplement afin de les acheminer jusqu’au port d’où ils embarqueront pour l’Australie où ils ont été vendus avec les semis qui leurs sont associées. À ceux qui se poseraient la question, le tracteur qui les emmène est un Isuzu.
Voilà, ci-dessous, deux exemples de semi-remorques porte-engins équipées de leur bissel. Un système efficace et simple mais qui ne présente pas que des avantages, en particulier lorsqu’il s’agit de manœuvrer en reculant. La première semi-remorque, attelée à un tracteur Mack, porte un scraper Terex et la seconde, attelée à un tracteur Freightliner, porte une pelle hydraulique Volvo, une EC700 pesant dans les 69 t. Ces deux ensembles roulent en Nouvelle-Zélande.
En Europe, où l’emploi de remorques modulaires à suspensions hydrauliques s’est généralisé, le bissel – lorsqu’il est nécessaire – est le plus souvent intégré à la semi-remorque, entre l’avant du plateau et le col-de-cygne. Il a la même fonction de répartition de la charge au niveau de la sellette du tracteur, peut être retiré si l’on n’en a pas l’utilité et permet de manœuvrer plus facilement en marche arrière.
Ici, une semi-remorque Nooteboom et son tracteur Volvo FH 8x4, dans une combinaison conçue pour respecter une faible charge à l’essieu.
Telles qu’on les voit, à rien. Ces éléments sont destinés à compléter des semi-remorques surbaissées. Ce sont des bissels additionnels qui, intercalés entre un tracteur et le col-de-cygne d’une semi-remorque porte-engins, servent à répartir la charge afin d’accroître la capacité de l’ensemble sans dépasser la valeur de charge limite sur sellette.
Ceux-ci sont néo-zélandais, fabriqués par MTE, et s’ils se promènent ainsi c’est tout simplement afin de les acheminer jusqu’au port d’où ils embarqueront pour l’Australie où ils ont été vendus avec les semis qui leurs sont associées. À ceux qui se poseraient la question, le tracteur qui les emmène est un Isuzu.
Voilà, ci-dessous, deux exemples de semi-remorques porte-engins équipées de leur bissel. Un système efficace et simple mais qui ne présente pas que des avantages, en particulier lorsqu’il s’agit de manœuvrer en reculant. La première semi-remorque, attelée à un tracteur Mack, porte un scraper Terex et la seconde, attelée à un tracteur Freightliner, porte une pelle hydraulique Volvo, une EC700 pesant dans les 69 t. Ces deux ensembles roulent en Nouvelle-Zélande.
En Europe, où l’emploi de remorques modulaires à suspensions hydrauliques s’est généralisé, le bissel – lorsqu’il est nécessaire – est le plus souvent intégré à la semi-remorque, entre l’avant du plateau et le col-de-cygne. Il a la même fonction de répartition de la charge au niveau de la sellette du tracteur, peut être retiré si l’on n’en a pas l’utilité et permet de manœuvrer plus facilement en marche arrière.
Ici, une semi-remorque Nooteboom et son tracteur Volvo FH 8x4, dans une combinaison conçue pour respecter une faible charge à l’essieu.