Le 10 novembre, le Parlement européen a donné son feu vert aux accords entre l’Union européenne (UE), l’Ukraine et la Moldavie pour faciliter les transports transfrontaliers de marchandises.
Les deux nouveaux accords sur le transport routier de l’UE font partie de la réponse aux dysfonctionnements du transport en Ukraine et en Moldavie, causés par l’invasion de la Russie en Ukraine. Étant donnée la fermeture de l’espace aérien au trafic civil en Ukraine, et les sévères limitations aux exportations maritimes, ce pays doit trouver des routes alternatives afin d’acheminer ses stocks de céréales, de carburants, des denrées alimentaires et d’autres marchandises. La Moldavie subit une situation similaire ; elle doit trouver des routes de transports alternatifs vers l’UE et a besoin d’une assistance dans le transit de marchandises ukrainiennes sur son territoire.
Les accords, adoptés par 586 voix pour, une contre et 7 abstentions (Ukraine) et par 596 voix pour, 2 contre et 7 abstentions (Moldavie), remplaceront les accords bilatéraux de transport existants avec les États membres de l’UE. Ils ont temporairement facilité le transport routier de marchandises, permettant aux transporteurs d’Ukraine, de Moldavie et de l’UE de circuler et d’opérer entre ces territoires sans avoir à obtenir de permis spécifiques.
De plus, l’accord UE-Ukraine permettra aux chauffeurs ukrainiens de continuer à utiliser leur permis de conduire national et leurs certificats d’aptitude professionnelle actuels pour conduire dans l’UE sans avoir besoin d’un permis de conduire international.
"Avec le blocage des routes de transport habituelles, nous avions besoin de trouver des alternatives pour transporter les céréales et les autres marchandises en provenance et en direction de l’Ukraine et la Moldavie, a expliqué le rapporteur du Parlement, le Roumain Marian-Jean Marinescu (PPE). Grâce à ces accords, nous pouvons hausser le niveau d'exportations et d'importations par voie routière, sans ralentir la circulation transfrontalière. Non seulement cela contribue à réduire la crise alimentaire globale, mais c’est également un pas vers l’approfondissement des relations dans le secteur des transports entre l’UE et ces pays".
Les deux accords sont entrés de manière provisionnelle en vigueur depuis le 29 juin dernier. Suite au feu vert du Parlement, les accords ont maintenant besoin de la validation officielle du Conseil de l'Europe.
Les deux nouveaux accords sur le transport routier de l’UE font partie de la réponse aux dysfonctionnements du transport en Ukraine et en Moldavie, causés par l’invasion de la Russie en Ukraine. Étant donnée la fermeture de l’espace aérien au trafic civil en Ukraine, et les sévères limitations aux exportations maritimes, ce pays doit trouver des routes alternatives afin d’acheminer ses stocks de céréales, de carburants, des denrées alimentaires et d’autres marchandises. La Moldavie subit une situation similaire ; elle doit trouver des routes de transports alternatifs vers l’UE et a besoin d’une assistance dans le transit de marchandises ukrainiennes sur son territoire.
Facilités de passage
Les accords, adoptés par 586 voix pour, une contre et 7 abstentions (Ukraine) et par 596 voix pour, 2 contre et 7 abstentions (Moldavie), remplaceront les accords bilatéraux de transport existants avec les États membres de l’UE. Ils ont temporairement facilité le transport routier de marchandises, permettant aux transporteurs d’Ukraine, de Moldavie et de l’UE de circuler et d’opérer entre ces territoires sans avoir à obtenir de permis spécifiques.
De plus, l’accord UE-Ukraine permettra aux chauffeurs ukrainiens de continuer à utiliser leur permis de conduire national et leurs certificats d’aptitude professionnelle actuels pour conduire dans l’UE sans avoir besoin d’un permis de conduire international.
"Avec le blocage des routes de transport habituelles, nous avions besoin de trouver des alternatives pour transporter les céréales et les autres marchandises en provenance et en direction de l’Ukraine et la Moldavie, a expliqué le rapporteur du Parlement, le Roumain Marian-Jean Marinescu (PPE). Grâce à ces accords, nous pouvons hausser le niveau d'exportations et d'importations par voie routière, sans ralentir la circulation transfrontalière. Non seulement cela contribue à réduire la crise alimentaire globale, mais c’est également un pas vers l’approfondissement des relations dans le secteur des transports entre l’UE et ces pays".
Les deux accords sont entrés de manière provisionnelle en vigueur depuis le 29 juin dernier. Suite au feu vert du Parlement, les accords ont maintenant besoin de la validation officielle du Conseil de l'Europe.