Les prochains exercices diront si la tendance est plus durable ou si l’évolution de 2022 n’est que ponctuelle. Le trafic total a légèrement diminué, de 0,3 % pour se situer à 38,3 millions de tonnes. La part du fret ferroviaire qui avait régulièrement progressé s’est cette fois-ci stabilisée… au taux cependant exceptionnel de 73,9 % au regard des standards européens.
La diminution du volume de 0,2 % par le rail (soit un total de 28,3 millions de tonnes transportées qui demeure la troisième meilleur de l’histoire récente après 2017 et 2021) est un peu moindre que celle de la route (- 0,7 %), sans donc que ce léger différentiel se reflète dans la mesure des parts modales.
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