Il y a aussi des trains qui arrivent à l’heure, des réussites individuelles, des aventures collectives qui font grandir… Ce n’est pas un luxe de se le dire, se le répéter même, dans ce concert de mauvaises nouvelles en tout genre, dans ce climat anxyogène entretenu à l’excès par les médias grands publics et ceux qui les contrôlent. Oui, il est des individus qui, seuls ou accompagnés, se lancent, osent, créent… portés par un vent d’optimisme, une soif de réussite, une envie de partager. Le monde de l’entreprise est riche de ces femmes et de ces hommes qui se refusent à la fatalité de la « loose ». Le TRM en recèle. Beaucoup préfèrent (encore) vivre cachés. D’autres se sont ouverts, occupent les réseaux sociaux. D’autres encore n’hésitent pas à s’afficher (humblement, c’est dans l’ADN des patrons du TRM) au concours du savoir-transporter français, celui des belles boutiques du TRM qui seront sacrées lors de la prochaine soirée du Transporteur de l’année, le 16 mars au Pavillon d’Armenonville, à Paris. À l’Officiel, on les attend tous avec impatience…
Éditorial