Le vendredi 30 juin, si nous sommes heureux de vous donner rendez-vous à la Nuit de l’Étoile du Transport à La Baule, ce n’est pas seulement pour vous faire profiter de la vue de la baie, splendide sous le ciel d’été. Ce qui motive la soirée initiée par L’Officiel des Transporteurs, que nous voulons partager avec tous les professionnels du métier, respecte trois principes : offrir une large tribune aux chefs d’entreprises, les mettre publiquement en valeur et faire écho à leurs convictions. C’est ainsi qu’à travers eux, des personnes physiques et morales, des réalisations, des prises de risque, des idées neuves… seront placées sous les projecteurs lors de la Nuit de l’Étoile, qui ouvrira ses portes à 19 h. Trois trophées seront remis, une Étoile et deux Prix. Il n’est pas encore l’heure de dévoiler le nom des gagnants ni des entreprises primées. Mais nous pouvons déjà annoncer que les trois impétrants sont une PME singulière qui compte 250 salariés, un collectif d’entreprises (qui ont, en mode collaboratif, donné vie à une méthodologie d’évaluation) et une jeune génération de dirigeants montés au pouvoir. Ils ont été choisis au bout d’une sélection attentive. Pour bénéficier d’un utile regard extérieur, nous avons fait appel, pour la première fois en 2017, à un jury d’observateurs et d’acteurs éclairés sur les évolutions du transport routier. Ils ont pour nom Denis Choumert (président de l’AUTF), Thierry Hautier (président du groupe Hautier), Jean-Michel Mercier (directeur de l’Observatoire du véhicule industriel), Alexis Giret (directeur du CNR), Stéphane Levesque (délégué général de l’Union routière de France), Kamran Riaz (dirigeant d’Alpak Transports), Sabine Ratoni (Ellisphere) et Charles-André Schwerer (cabinet conseil Asteres). Grâce à leur concours, et avec le soutien de nos partenaires (Renault Trucks, Trimble, Axxès, l’Aftral, accompagnés de Soreco et d’Allopneus), il a été choisi de mettre en exergue l’innovation et l’audace, dans la gestion des affaires comme dans celles des hommes. Car au fil des ruptures annoncées par la digitalisation, il apparaît évident que les innovations technologiques, aussi brillantes soient-elles, ne pourront pas donner de résultats heureux si le critère humain, aussi complexe qu’un génome, ne fait pas l’objet de la même ambition. Les chefs d’entreprises, managers de rang un, savent qu’ils ne peuvent l’ignorer.
Éditorial