Sur sa route, il y a les catastrophes du Mont-Blanc, de l'Erika et du Concorde qui ouvrent le livre du ministre des Transports. Des moments que Jean-Claude Gayssot évoque avec gravité. Il y a également les barrages routiers de fin 1997 et les sandwichs aux rillettes partagés avec les syndicalistes, la grève à Air France en 1998, celle des convoyeurs de fonds. Des conflits sociaux que le ministre dit vivre à une place nouvelle « qui enrichit mon expérience ». Il y a aussi ses amitiés communistes et biterroises, sa tante Denise qui s'est faite nonne à Montpellier, sa femme ravie qu'il soit ministre de la météo « pour qu'il fasse beau ». Et des moments inattendus tels que Juliette Gréco « parlant trains » avec le président de la SNCF Louis Gallois lors d'une réception au ministère.
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La route de Jean-Claude Gayssot
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