Le port de Sète et le groupe Enedis viennent de signer une convention de partenariat dont l'objectif est de poursuivre l'électrification des quais. Les navires dans le port de Sète vont pouvoir se connecter directement à des bornes électriques.
Après avoir équipé le bassin Orsetti, le port héraultais poursuit l'électrification de ses
installations avec le quai d’Alger qui accueille la croisière en centre-ville, puis le môle Masselin, pour l’activité passagers (ferry et croisière). Et enfin, ce sera au tour du quai H, pour les navires ro-ro et les paquebots.
L'établissement régional sétois projette de "raccorder à court terme les navires passagers et ro-ro qui sont les escales régulières les plus nombreuses aujourd’hui". La direction du port souligne qu'une "augmentation de puissance jusqu’à 15 MW, permettant d’alimenter les grands navires, sera disponible à terme sur les quais avec un objectif de première connexion d’ici deux ans".
L'objectif de Sète est de diviser par cinq les rejets polluants dans la zone industrialo-portuaire. Le diagnostic d'une étude réalisée par Egis révèle que "les sources maritimes fixes, à savoir l'usage des moteurs auxiliaires des navires à quai, contribuent à hauteur de 43 % des émissions de CO2 (soit 33.420 t/an), 82 % des émissions de N0x (832 t/an) et 30 % des émissions des particules fines".
Pour Jean-Claude Gayssot, président du Port de Sète – Sud de France, la conclusion du partenariat avec Enedis "donne la priorité à l’axe "smartport", intégrant les ambitions technologiques et environnementales".
Après avoir équipé le bassin Orsetti, le port héraultais poursuit l'électrification de ses
installations avec le quai d’Alger qui accueille la croisière en centre-ville, puis le môle Masselin, pour l’activité passagers (ferry et croisière). Et enfin, ce sera au tour du quai H, pour les navires ro-ro et les paquebots.
L'établissement régional sétois projette de "raccorder à court terme les navires passagers et ro-ro qui sont les escales régulières les plus nombreuses aujourd’hui". La direction du port souligne qu'une "augmentation de puissance jusqu’à 15 MW, permettant d’alimenter les grands navires, sera disponible à terme sur les quais avec un objectif de première connexion d’ici deux ans".
L'objectif de Sète est de diviser par cinq les rejets polluants dans la zone industrialo-portuaire. Le diagnostic d'une étude réalisée par Egis révèle que "les sources maritimes fixes, à savoir l'usage des moteurs auxiliaires des navires à quai, contribuent à hauteur de 43 % des émissions de CO2 (soit 33.420 t/an), 82 % des émissions de N0x (832 t/an) et 30 % des émissions des particules fines".
Pour Jean-Claude Gayssot, président du Port de Sète – Sud de France, la conclusion du partenariat avec Enedis "donne la priorité à l’axe "smartport", intégrant les ambitions technologiques et environnementales".