Même s’il a déjà fait mieux, le Grand Port maritime de Rouen voit cette année les échanges avec le continent africain, et la COA en particulier, s’améliorer. C’est l’une de ses grandes spécialités, culturelle et historique.
"L’an dernier, nous n’avons pas vendu le moindre grain sur la côte occidentale en raison de la crise céréalière, et les difficultés liées à l’oil & gas étaient à leur apogée. Cette année, il y a du mieux", rappelle Patrick Bret, responsable commercial de l’axe Nord-Sud au sein de Haropa-Ports de Paris Seine Normandie.
À fin septembre, les exportations vers l’Afrique de l’Ouest s’élevaient à 478.400 tonnes contre 282.400 l’an dernier, ce qui en année mobile se traduirait par 591.600 tonnes contre 396.100 tonnes, soit une progression de près de 50 %. Un exemple parmi d’autres : le groupe céréalier Beuzelin a expédié cette année du blé et du malt vers le Cameroun, le Gabon et le Congo (en conteneurs).
Cette embellie se constate également du côté des importations. Elles se situaient fin septembre à 91.200 tonnes contre 59.700 tonnes en 2017, soit une hausse de 52 %. En année mobile, la progression serait d’environ 40 %, avec 127.600 tonnes contre 91.000 l’an passé. Un exemple : un trafic d’attapulgite en provenance de Dakar a été déchargé au terminal de Honfleur.
Côté cacao, les importations pour les deux groupes industriels présents en Normandie se sont situées à un bon niveau qu’il s’agisse de fèves ivoiriennes en conteneurs ou ghanéennes en vrac.
À fin septembre, les exportations vers l’Afrique de l’Ouest s’élevaient à 478.400 tonnes contre 282.400 l’an dernier, ce qui en année mobile se traduirait par 591.600 tonnes contre 396.100 tonnes, soit une progression de près de 50 %. Un exemple parmi d’autres : le groupe céréalier Beuzelin a expédié cette année du blé et du malt vers le Cameroun, le Gabon et le Congo (en conteneurs).
Cette embellie se constate également du côté des importations. Elles se situaient fin septembre à 91.200 tonnes contre 59.700 tonnes en 2017, soit une hausse de 52 %. En année mobile, la progression serait d’environ 40 %, avec 127.600 tonnes contre 91.000 l’an passé. Un exemple : un trafic d’attapulgite en provenance de Dakar a été déchargé au terminal de Honfleur.
Côté cacao, les importations pour les deux groupes industriels présents en Normandie se sont situées à un bon niveau qu’il s’agisse de fèves ivoiriennes en conteneurs ou ghanéennes en vrac.