Un accord de principe sur la reprise des chantiers navals STX France de Saint-Nazaire par Fincantieri a été signé à Paris, a annoncé le groupe italien, qui sera actionnaire minoritaire.
L'accord de principe a été signé mercredi 12 avril pour la reprise de STX France par Fincantieri. Cet accord - "heads of terms" - a été signé à Paris par le patron de l'Agence des participations de l'État (APE), Martin Vial, et le PDG de Fincantieri, Giuseppe Bono, en présence du secrétaire d'État chargé de l'Industrie, Christophe Sirugue. Il "constitue un élément fondamental pour la réalisation des accords définitifs entre les futurs actionnaires et comprend les lignes directrices du business plan partagé avec l'APE et préparé par Fincantieri pour STX France", a relevé le groupe italien.
Les services de Christophe Sirugue ont précisé que la signature était prévue, et que tout se passait comme prévu depuis que l'État a donné son feu vert à l'opération, le 6 avril. Fincantieri, qui va reprendre 48 % du capital, devra rester minoritaire pendant au moins huit ans et sera accompagné d'un investisseur italien indépendant, la Fundazione CR (Cassa di Risparmio) Trieste. Côté français, l'État, qui détient un tiers du capital de STX France, conservera un droit de veto et le constructeur militaire public français DCNS va entrer à hauteur de 12 %.
Les services de Christophe Sirugue ont précisé que la signature était prévue, et que tout se passait comme prévu depuis que l'État a donné son feu vert à l'opération, le 6 avril. Fincantieri, qui va reprendre 48 % du capital, devra rester minoritaire pendant au moins huit ans et sera accompagné d'un investisseur italien indépendant, la Fundazione CR (Cassa di Risparmio) Trieste. Côté français, l'État, qui détient un tiers du capital de STX France, conservera un droit de veto et le constructeur militaire public français DCNS va entrer à hauteur de 12 %.