Louis Dreyfus Armateurs et quatre partenaires ont décidé de s’associer pour concevoir une nouvelle génération de navires destinés à la maintenance d’éoliennes. Ces navires économes en énergie seront équipés des dernières technologies en matière de sécurité.
Le projet Zest (pour "Zero emission & safe transfer") a été lancé par un consortium composé de Louis Dreyfus Armateurs (LDA), Mauric, Seair, Barillec et ADV Propulse. Son objectif : créer un nouveau concept de navires destinés au transfert des personnels chargés de la maintenance des éoliennes offshore d’ici 2025.
Ce futur Crew Transfer vessel (CTV) rassemblera plusieurs briques technologiques. Sur la base d’une architecture à foils, il sera doté de propulseurs trochoïdaux et de systèmes énergétiques n’émettant aucun gaz à effet de serre (GES). En termes de sécurité, le consortium prévoit de l’équiper de dispositifs de monitoring des vagues et de détection d’objets flottants ainsi que d’un système de positionnement dynamique selon les demandes du marché. Sa construction utilisera des matériaux composites recyclables.
Marché de plusieurs dizaines de millions d’euros
Dans l’immédiat, les cinq partenaires du projet ont lancé les études de conception et technico-économiques du CTV. À l’issue de cette phase d’études, un premier prototype sera testé en conditions réelles durant six mois.
Sur un marché de l’éolien offshore en croissance, le consortium ambitionne de créer de nouveaux standards environnementaux et de sécurité pour le transfert des personnels chargés de leur maintenance.
Selon LDA, le développement de ces nouveaux CTV pourrait générer "plusieurs dizaines de millions d’euros de chiffre d’affaires et près d’une centaine d’emplois d’ici 2030 pour la filière maritime française". Les briques technologiques développées dans le cadre du projet Zest pourraient servir aussi à d’autres navires.
Ce futur Crew Transfer vessel (CTV) rassemblera plusieurs briques technologiques. Sur la base d’une architecture à foils, il sera doté de propulseurs trochoïdaux et de systèmes énergétiques n’émettant aucun gaz à effet de serre (GES). En termes de sécurité, le consortium prévoit de l’équiper de dispositifs de monitoring des vagues et de détection d’objets flottants ainsi que d’un système de positionnement dynamique selon les demandes du marché. Sa construction utilisera des matériaux composites recyclables.
Marché de plusieurs dizaines de millions d’euros
Dans l’immédiat, les cinq partenaires du projet ont lancé les études de conception et technico-économiques du CTV. À l’issue de cette phase d’études, un premier prototype sera testé en conditions réelles durant six mois.
Sur un marché de l’éolien offshore en croissance, le consortium ambitionne de créer de nouveaux standards environnementaux et de sécurité pour le transfert des personnels chargés de leur maintenance.
Selon LDA, le développement de ces nouveaux CTV pourrait générer "plusieurs dizaines de millions d’euros de chiffre d’affaires et près d’une centaine d’emplois d’ici 2030 pour la filière maritime française". Les briques technologiques développées dans le cadre du projet Zest pourraient servir aussi à d’autres navires.