Pour le Port autonome de Nouvelle-Calédonie, l'année 2021 s'est achevée sur une légère perte de trafic par rapport à 2020. Responsables de cette tendance baissière, le ferronickel à l'export, le minerai de nickel à l'import et les hydrocarbures. Côté marchandises diverses, seul l'export s'est bien tenu.
À Nouméa, le Port autonome de Nouvelle-Calédonie a subi un léger recul de son activité en 2021. En baisse de 1,2 %, le volume global a comptabilisé au 31 décembre de l'an dernier un volume global de 4,4 millions de tonnes (Mt).
L'activité s'est élevée à 3,9 Mt à l'import. L'export, lui, s'est établi à 446.860 t. À l'import, les vracs solides ont marqué un rebond de 23,4 % par rapport à 2020 pour atteindre 308.200 t, contre 249.700 t en 2020.
Le transbordement explose
Dans la catégorie des vracs liquides, les produits pétroliers ont connu une nouvelle baisse. Un recul de 16,8 % qui les a empêchés de franchir la barre des 366.000 t.
Toujours à l'import, dans la catégorie des marchandises diverses, le conteneur et le conventionnel ont atteint un peu plus de 561.000 tonnes, en hausse de 6,8 % par rapport à 2020. Une progression portée, selon la direction de l'établissement portuaire, par "l'explosion du trafic de transbordement", qui a bondi de 75 %, à 101.600 t.
Autre élément marquant de l'année 2021, la nouvelle diminution du minerai de nickel destiné à l'usine de la Société Le Nickel (SLN), filiale d'Eramet, de Doniambo. Avec cette baisse de 5,1 %, ce trafic s'est établi à 2,7 Mt.
Forte chute du ferronickel à l'export
À l'export, les trafics de marchandises diverses (conteneur et conventionnel) ont baissé de 3,6 %, à 267.800 t. Quant aux flux de ferronickel produits en Nouvelle-Calédonie par SLN, à 128.700 t, ils ont plongé l'an dernier de 32 %.
Enfin, les vracs solides, également produits par la filiale néo-calédonienne du groupe Eramet, ont atteint 83.406 t, alors qu'ils avaient disparu des tablettes de l'établissement portuaire en 2020.
Dans le secteur de la croisière, aucun paquebot n'a plus été accueilli à Nouméa depuis mars 2020 en raison de la crise sanitaire. La direction du Port autonome attend le retour des croisiéristes en 2023, après trois ans d'interruption.
L'activité s'est élevée à 3,9 Mt à l'import. L'export, lui, s'est établi à 446.860 t. À l'import, les vracs solides ont marqué un rebond de 23,4 % par rapport à 2020 pour atteindre 308.200 t, contre 249.700 t en 2020.
Le transbordement explose
Dans la catégorie des vracs liquides, les produits pétroliers ont connu une nouvelle baisse. Un recul de 16,8 % qui les a empêchés de franchir la barre des 366.000 t.
Toujours à l'import, dans la catégorie des marchandises diverses, le conteneur et le conventionnel ont atteint un peu plus de 561.000 tonnes, en hausse de 6,8 % par rapport à 2020. Une progression portée, selon la direction de l'établissement portuaire, par "l'explosion du trafic de transbordement", qui a bondi de 75 %, à 101.600 t.
Autre élément marquant de l'année 2021, la nouvelle diminution du minerai de nickel destiné à l'usine de la Société Le Nickel (SLN), filiale d'Eramet, de Doniambo. Avec cette baisse de 5,1 %, ce trafic s'est établi à 2,7 Mt.
Forte chute du ferronickel à l'export
À l'export, les trafics de marchandises diverses (conteneur et conventionnel) ont baissé de 3,6 %, à 267.800 t. Quant aux flux de ferronickel produits en Nouvelle-Calédonie par SLN, à 128.700 t, ils ont plongé l'an dernier de 32 %.
Enfin, les vracs solides, également produits par la filiale néo-calédonienne du groupe Eramet, ont atteint 83.406 t, alors qu'ils avaient disparu des tablettes de l'établissement portuaire en 2020.
Dans le secteur de la croisière, aucun paquebot n'a plus été accueilli à Nouméa depuis mars 2020 en raison de la crise sanitaire. La direction du Port autonome attend le retour des croisiéristes en 2023, après trois ans d'interruption.