Invité pour la deuxième fois par le Propeller Club de Rouen, le 14 février dernier, Pascal Gabet, président du directoire d’Haropa-Port de Rouen depuis mi-novembre a estimé que 2019 avait été "un très belle année" pour le port et s’est voulu optimiste pour 2020 malgré un contexte social "agité".
Si en 2019, le Grand Port maritime de Rouen (GPMR) a enregistré une deuxième année de progression (+ 1,7 %) avec un trafic global à 23,45 millions de tonnes, il ne le doit pas comme l’année précédente à des filières relais de diversification mais à ses trafics "socles" : les sorties de céréales (8,3 millions de tonnes, + 9 %) et de produits raffinés (6,5 millions de tonnes, + 5 %).
"Pour retrouver un tel niveau de trafic général, il faut remonter aux années 2009/2011, soit avant la fermeture de la raffinerie Pétroplus", a souligné le directeur général du GPMR. Les vracs solides (engrais, matériaux de construction, granulés de bois, etc.) n’ont d’ailleurs pas été en reste, établissant leur deuxième meilleur score historique à 12,5 millions de tonnes.
Malgré un contexte social tendu avec la CGT, l’année en cours semble partie sur des bases élevées avec une progression de 21, 8 % au 12 février à 2,9 millions de tonnes. Seul point noir en 2019 : le nouvel effondrement des conteneurs maritimes (60.000 EVP). "Mais le modèle logistique a changé et le nouveau modèle rouennais se met en place. Les premiers chiffres sont positifs. Les conteneurs fluviaux ont ainsi progressé de 14 %", a estimé le directeur.
S’appuyant sur la formule "Rouen hub au positionnement stratégique, arrière-port du Havre et avant-port de Paris", Pascal Gabet fonde de gros espoirs sur l’extension programmée de la zone RVSL Amont à Grand-Couronne, en aval de Rouen. "Nous avons connu quelques problèmes d’ordre géotechnique mais l’aménageur (P3 Logistic, NDLR) espère déposer ses permis de construire à l’été. Il s’agira d’entrepôts modulaires de 30.000 à 70.000 m2", a expliqué Pascal Gabet face aux représentants de la communauté portuaire.
Si en 2019, le Grand Port maritime de Rouen (GPMR) a enregistré une deuxième année de progression (+ 1,7 %) avec un trafic global à 23,45 millions de tonnes, il ne le doit pas comme l’année précédente à des filières relais de diversification mais à ses trafics "socles" : les sorties de céréales (8,3 millions de tonnes, + 9 %) et de produits raffinés (6,5 millions de tonnes, + 5 %).
"Pour retrouver un tel niveau de trafic général, il faut remonter aux années 2009/2011, soit avant la fermeture de la raffinerie Pétroplus", a souligné le directeur général du GPMR. Les vracs solides (engrais, matériaux de construction, granulés de bois, etc.) n’ont d’ailleurs pas été en reste, établissant leur deuxième meilleur score historique à 12,5 millions de tonnes.
Malgré un contexte social tendu avec la CGT, l’année en cours semble partie sur des bases élevées avec une progression de 21, 8 % au 12 février à 2,9 millions de tonnes. Seul point noir en 2019 : le nouvel effondrement des conteneurs maritimes (60.000 EVP). "Mais le modèle logistique a changé et le nouveau modèle rouennais se met en place. Les premiers chiffres sont positifs. Les conteneurs fluviaux ont ainsi progressé de 14 %", a estimé le directeur.
S’appuyant sur la formule "Rouen hub au positionnement stratégique, arrière-port du Havre et avant-port de Paris", Pascal Gabet fonde de gros espoirs sur l’extension programmée de la zone RVSL Amont à Grand-Couronne, en aval de Rouen. "Nous avons connu quelques problèmes d’ordre géotechnique mais l’aménageur (P3 Logistic, NDLR) espère déposer ses permis de construire à l’été. Il s’agira d’entrepôts modulaires de 30.000 à 70.000 m2", a expliqué Pascal Gabet face aux représentants de la communauté portuaire.
